Avec la « taxe carbone », les Français vont devoir payer une nouvelle contribution bidon destinée à « faire changer les comportements » et à réduire la consommation d’énergies fossiles (pétrole, gaz et charbon).
Cette taxe serait applicable dès 2010 (sans doute après les élections régionales…) avec un taux de 32 € la tonne de CO2 émis. L’objectif étant de porter ce taux à 100 € en 20 ans ! Ce sera cher pour les incendiaires de voitures...
Michel Rocard, qui préside la commission chargée d’accoucher de ce nouvel outil de racket, reconnaît lui-même que cette taxe sera lourde. Qu’importe puisque cette dernière est fondée sur le nouveau dogme de l’écologie totalitaire qui veut que le méchant homme occidental soit responsable d’hypothétiques catastrophes écologiques en cours ou à venir. Il doit donc payer !
Michel Rocard étant d'abord un politicien avant d’être un spécialiste en physique-chimie ou en écologie, il n’oublie pas qu’une taxe comme celle-ci peut aussi coûter des voix à son commanditaire Sarkozy. On fait donc l’annonce fin juillet et on tente de rassurer maladroitement les quelques Français attentifs même en période de transhumance estivale. « Ce ne sera pas un impôt supplémentaire. Ce sera un prélèvement constant », déclare l’ancien Premier ministre socialiste. Ouf ! Nous voilà rassurés. On prévoit des compensations « pour ceux pour qui c’est énorme », sous forme de « chèque vert ». A ne pas confondre avec les cheiks verts du Moyen-Orient qui ne paieront pas, eux, la taxe carbone bien que leur fortune soit basée sur l’industrie pétrolière, faisant d’eux les principaux bailleurs de fonds de l’Etat français en faillite.
Cette taxe fera donc monter, dans un premier temps, le litre d’essence de 7 à 8 centimes et plus pour le gasoil. Le gaz devrait augmenter de 10 %.
Après leur conférence de presse Michel Rocard, les ministres et secrétaires d’Etat présents, satisfaits de leur nouveau système de racket (ils auraient tort de se priver, depuis la vignette "pour les petits vieux", ça marche à tous les coups), sont repartis dans leurs grosses berlines à vitres teintées, fortes émettrices de CO2 mais cela, c’est une autre histoire…
Yann Baly
Cette taxe serait applicable dès 2010 (sans doute après les élections régionales…) avec un taux de 32 € la tonne de CO2 émis. L’objectif étant de porter ce taux à 100 € en 20 ans ! Ce sera cher pour les incendiaires de voitures...
Michel Rocard, qui préside la commission chargée d’accoucher de ce nouvel outil de racket, reconnaît lui-même que cette taxe sera lourde. Qu’importe puisque cette dernière est fondée sur le nouveau dogme de l’écologie totalitaire qui veut que le méchant homme occidental soit responsable d’hypothétiques catastrophes écologiques en cours ou à venir. Il doit donc payer !
Michel Rocard étant d'abord un politicien avant d’être un spécialiste en physique-chimie ou en écologie, il n’oublie pas qu’une taxe comme celle-ci peut aussi coûter des voix à son commanditaire Sarkozy. On fait donc l’annonce fin juillet et on tente de rassurer maladroitement les quelques Français attentifs même en période de transhumance estivale. « Ce ne sera pas un impôt supplémentaire. Ce sera un prélèvement constant », déclare l’ancien Premier ministre socialiste. Ouf ! Nous voilà rassurés. On prévoit des compensations « pour ceux pour qui c’est énorme », sous forme de « chèque vert ». A ne pas confondre avec les cheiks verts du Moyen-Orient qui ne paieront pas, eux, la taxe carbone bien que leur fortune soit basée sur l’industrie pétrolière, faisant d’eux les principaux bailleurs de fonds de l’Etat français en faillite.
Cette taxe fera donc monter, dans un premier temps, le litre d’essence de 7 à 8 centimes et plus pour le gasoil. Le gaz devrait augmenter de 10 %.
Après leur conférence de presse Michel Rocard, les ministres et secrétaires d’Etat présents, satisfaits de leur nouveau système de racket (ils auraient tort de se priver, depuis la vignette "pour les petits vieux", ça marche à tous les coups), sont repartis dans leurs grosses berlines à vitres teintées, fortes émettrices de CO2 mais cela, c’est une autre histoire…
Yann Baly