Après la méchante tempête sinistrant la région et dans la triste conjoncture d’émiettement du mouvement national, pouvant rendre morose certains de nos amis, c’est une grande et bien agréable surprise qui m’attendait ce samedi à Bordeaux pour notre réunion annuelle.
Comme à l’accoutumée, bien sûr, nos chers amis Mireille et François de Badereau s’étaient dépensés pour faire venir nos adhérents. Il faut le dire aussi, cette année un excellent viticulteur ami du centre Charlier avait de surcroît ouvert son chai pour y accueillir une conférence. Et mon Dieu, qu’il est agréable de parler dans la douce harmonie des cuves rutilantes alors que dans les pièces annexes le très grand vin de Pessac-Léognan mûrit dans les tonneaux.
Les vieux amis bordelais étaient là, comme au meilleur temps de nos réunions d’Amitié Française, au-delà de leurs différences et divergences, tous persuadés du rôle essentiel de l’Agrif et de ce qu’elle est aussi comme un lieu de retrouvailles d’où l’on exclut les mauvaises inimitiés, les injures et les diffamations. Mais l’élément à noter était aussi la présence de personnes nouvelles et jeunes, cadres d’entreprise, fonctionnaires ou enseignants, essentiellement venus à nous par le catholicisme de conviction toujours plus vigoureux grâce à la grande renaissance qu’encourage et développe Benoît XVI si ignoblement attaqué en ce moment.
Or, voici qu’à l’intérieur de ce catholicisme la prise de conscience se fait enfin, au moins chez une minorité, qu’il serait temps d’agir politiquement, au vrai sens du mot, tout simplement pour la survie de notre peuple et de nos valeurs.Notre hôte avait prévu 150 chaises. Il en manqua au moins une quinzaine ! Arrivé encore un peu fatigué de ma fin de maladie, je ressentis une telle communication de sympathie, de connivence, de combativité avec l’assistance que lorsque je cessai de parler j’étais comme totalement ragaillardi ; ce à quoi contribua aussi le verre de ce vin parfait que m’amena pendant que je signai mes livres un prêtre souriant et chaleureux qui s’y connaît dans les urgences de la charité.
Comme à l’accoutumée, bien sûr, nos chers amis Mireille et François de Badereau s’étaient dépensés pour faire venir nos adhérents. Il faut le dire aussi, cette année un excellent viticulteur ami du centre Charlier avait de surcroît ouvert son chai pour y accueillir une conférence. Et mon Dieu, qu’il est agréable de parler dans la douce harmonie des cuves rutilantes alors que dans les pièces annexes le très grand vin de Pessac-Léognan mûrit dans les tonneaux.
Les vieux amis bordelais étaient là, comme au meilleur temps de nos réunions d’Amitié Française, au-delà de leurs différences et divergences, tous persuadés du rôle essentiel de l’Agrif et de ce qu’elle est aussi comme un lieu de retrouvailles d’où l’on exclut les mauvaises inimitiés, les injures et les diffamations. Mais l’élément à noter était aussi la présence de personnes nouvelles et jeunes, cadres d’entreprise, fonctionnaires ou enseignants, essentiellement venus à nous par le catholicisme de conviction toujours plus vigoureux grâce à la grande renaissance qu’encourage et développe Benoît XVI si ignoblement attaqué en ce moment.
Or, voici qu’à l’intérieur de ce catholicisme la prise de conscience se fait enfin, au moins chez une minorité, qu’il serait temps d’agir politiquement, au vrai sens du mot, tout simplement pour la survie de notre peuple et de nos valeurs.Notre hôte avait prévu 150 chaises. Il en manqua au moins une quinzaine ! Arrivé encore un peu fatigué de ma fin de maladie, je ressentis une telle communication de sympathie, de connivence, de combativité avec l’assistance que lorsque je cessai de parler j’étais comme totalement ragaillardi ; ce à quoi contribua aussi le verre de ce vin parfait que m’amena pendant que je signai mes livres un prêtre souriant et chaleureux qui s’y connaît dans les urgences de la charité.