Le communiqué de l’Institut du Pays Libre signé de Louis Chagnon le rappelle : la guerre, sans pitié pour les civils, que mène l’Etat hébreu dans la bande de Gaza, contre un Hamas que le Mossad a largement contribué à développer, met en évidence chez nous l’alliance islamo-gauchiste.
Ces derniers jours, de Paris à Nice, de Nancy à Toulouse, l’on a vu défiler côte à côte les barbus et les chevelus, les imams salafistes et les instituteurs gaucho-laïcards, les très féministes militantes de la LCR au coude à coude avec les très soumises musulmanes voilées. Ah ! qu’ils étaient beau tous ces trotskistes, briseurs de dogmes, qu’ils avaient l’air fiers derrière ces familles nombreuses, eux qui affirment à qui veut l’entendre que l’institution familiale est une invention bourgeoise destinée à asservir la classe ouvrière.
Pour la France de 2009, la réalité est que le conflit du Moyen-Orient s’est bel et bien transporté chez nous. On apprend ce matin qu’une synagogue toulousaine a été attaquée à la voiture bélier et au cocktail molotov.
Alors, on ne peut s’empêcher de penser à tous ces Enrico Macias, ces Patrick Gaubert, ces BHL, ces Roger Hanin qui, de LICRA en CRIF, de SOS-racisme en France-Libertés ont réclamé et défendu l’immigration de masse de populations islamisées tout en crachant jusqu’à plus de salive sur la droite nationale sous couvert d’un soi-disant anti-racisme. Aujourd’hui, ils vont récolter ce qu’ils ont semé.
Hélas, pendant qu’ils seront bien à l’abri dans leurs résidences protégées ou leurs luxueux appartements sécurisés, en France ou plus certainement ailleurs, ce seront les Français, les pauvres gens en premier, qui subiront les dégâts collatéraux de cette guerre civile d’importation.
Pour éviter cela, la nécessité de reconstruire un mouvement national cohérent et efficace devient une urgence.
Yann Baly