Le Centre Charlier exprime sa profonde gratitude au Saint Père Benoît XVI pour l’acte de paix et de réconciliation qu’il a posé en levant les excommunications des 4 évêques sacrés par Monseigneur Lefebvre en 1988.
Nous nous réjouissons également des différentes déclarations ou réponses aux journalistes formulées par le Supérieur général de la Fraternité sacerdotale Saint Pie X, Monseigneur Bernard Fellay. Il y a semble-t-il, des deux côtés, une volonté d’avancer ensemble pour le bien de l’Eglise.
Je constate par ailleurs le bien fondé de mon analyse du 23/01/2009 sur le caractère provocateur et dangereux des propos tenus par Monseigneur Williamson à la télévision suédoise, puisque Monseigneur Fellay lui même a assuré le Pape et tous les catholiques de sa réprobation d’une attitude qui aurait pu nuire gravement à la démarche de réconciliation en cours. « Nous demandons pardon au Souverain Pontife, et à tous les hommes de bonne volonté, pour les conséquences dramatiques d’un tel acte. » a-t-il ainsi écrit.
Il y avait donc bel et bien un risque grave pour le processus de pacification.
Remercions encore une fois Rome d’avoir su privilégier le bien commun de l’Eglise, au delà de la polémique créée par les propos de Mgr Williamson et exploitée par un certain établissement politico-médiatique.
Nous nous réjouissons également des différentes déclarations ou réponses aux journalistes formulées par le Supérieur général de la Fraternité sacerdotale Saint Pie X, Monseigneur Bernard Fellay. Il y a semble-t-il, des deux côtés, une volonté d’avancer ensemble pour le bien de l’Eglise.
Je constate par ailleurs le bien fondé de mon analyse du 23/01/2009 sur le caractère provocateur et dangereux des propos tenus par Monseigneur Williamson à la télévision suédoise, puisque Monseigneur Fellay lui même a assuré le Pape et tous les catholiques de sa réprobation d’une attitude qui aurait pu nuire gravement à la démarche de réconciliation en cours. « Nous demandons pardon au Souverain Pontife, et à tous les hommes de bonne volonté, pour les conséquences dramatiques d’un tel acte. » a-t-il ainsi écrit.
Il y avait donc bel et bien un risque grave pour le processus de pacification.
Remercions encore une fois Rome d’avoir su privilégier le bien commun de l’Eglise, au delà de la polémique créée par les propos de Mgr Williamson et exploitée par un certain établissement politico-médiatique.