Les modifications constitutionnelles votées hier par le Congrès ne seront pas radicalement déterminantes pour l’avenir de la nation. On peut certes approuver l’institution du référendum d’initiative populaire et regretter l’article ambigu non nécessaire sur les langues régionales et les idiomes étrangers ainsi qualifiés alors que c’est à la survie de la langue française qu’il faudrait aujourd’hui prioritairement se consacrer.
L’article selon lequel la loi favorise l’égal accès des femmes et des hommes aux responsabilités professionnelles et sociales est strictement inutile puisque redondant avec le principe d’égalité des citoyens.
Le reste ne relève somme toute que de dispositions vraiment secondaires du fonctionnement de nos institutions alors que c’est le principe fondamental de la prééminence de la souveraineté française et de la délégation subsidiaire des pouvoirs à l’Union Européenne qu’il faudra réaffirmer le jour où les Français ne voudront plus se soumettre à la dictature hautaine d’un Barroso et de sa bureaucratie.
Enfin un regret : Nicolas Sarkozy affirme volontiers dans certains discours qu’il n’oublie pas l’existence d’un Dieu créateur. Cela implique le respect dû à Sa création et à l’homme qui est la seule créature ayant reçu le don de la liberté. Il n’a cependant pas jugé bon d’introduire dans la Constitution un article explicite que plus que jamais la modernité exige, sur le respect de la vie innocente de la conception à la mort et sur le premier des droits de l’homme, celui de naître, qui doit être reconnu à l’embryon, personne humaine en devenir.
Rien non plus ne rappelle explicitement le principe antitotalitaire selon lequel l’État ne peut exercer une mission d’enseignement que par délégation des parents.
Au lieu de bidouiller sans cesse la Constitution voulue par le général De Gaulle, ne serait-il point temps de proposer enfin au peuple français et pour longtemps la Charte fondamentale et irrévocable de la nation française.
Pays Libre
70, boulevard Saint-Germain
75005 - Paris
01 40 51 74 07
L’article selon lequel la loi favorise l’égal accès des femmes et des hommes aux responsabilités professionnelles et sociales est strictement inutile puisque redondant avec le principe d’égalité des citoyens.
Le reste ne relève somme toute que de dispositions vraiment secondaires du fonctionnement de nos institutions alors que c’est le principe fondamental de la prééminence de la souveraineté française et de la délégation subsidiaire des pouvoirs à l’Union Européenne qu’il faudra réaffirmer le jour où les Français ne voudront plus se soumettre à la dictature hautaine d’un Barroso et de sa bureaucratie.
Enfin un regret : Nicolas Sarkozy affirme volontiers dans certains discours qu’il n’oublie pas l’existence d’un Dieu créateur. Cela implique le respect dû à Sa création et à l’homme qui est la seule créature ayant reçu le don de la liberté. Il n’a cependant pas jugé bon d’introduire dans la Constitution un article explicite que plus que jamais la modernité exige, sur le respect de la vie innocente de la conception à la mort et sur le premier des droits de l’homme, celui de naître, qui doit être reconnu à l’embryon, personne humaine en devenir.
Rien non plus ne rappelle explicitement le principe antitotalitaire selon lequel l’État ne peut exercer une mission d’enseignement que par délégation des parents.
Au lieu de bidouiller sans cesse la Constitution voulue par le général De Gaulle, ne serait-il point temps de proposer enfin au peuple français et pour longtemps la Charte fondamentale et irrévocable de la nation française.
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