l’ abomination préfectorale, l’effondrement français, l’honneur de l’AGRIF.
Chers visiteurs de ce blog,
Dans l’irruption massive d’abjection que constitue le phénomène des expositions du soi-disant « art contemporain », celle du FRAC Lorraine constitue un stupéfiant pic d’infamie où la perversion des uns rencontre la lâcheté des autres.
Rappelons avant de passer au fait que les FRAC sont les Fonds Régionaux d’Acquisition Culturelle financés avec vos impôts par les Régions et l’Etat essentiellement pour la promotion des horreurs de l’art contemporain.
Celui de lorraine reçoit 700 000 euros de la Région et 500 000 euros de l’Etat.
Cette très forte somme a permis de subventionner l’infâme exposition appelée « L’infamille ». C’est l’honneur de Françoise Grolet, Conseiller Régional de Lorraine et mère de huit enfants que d’avoir, la première, réagi face à ce que la collectivité régionale propose aux visites des jeunes Lorrains.
Françoise Grolet se devait de décrire le crime avec le plus de sobriété possible certes mais sans une dissimulation que rien ne justifierait. Car, de même que l’on est bien obligé aux Assises de décrire les monstruosités des Bodein et des Fourniret, il faut bien ici montrer l’abjection républicainement financée à l’indicible horreur dont l’homme est capable. Car il faut bien que tout le monde sache : les hommes politiques, les évêques, les curés et les pasteurs, les imams et les rabbins, les enseignants, les gogos milliardaires qui jouent les amateurs d’art en finançant, eux aussi, l’art d’une barbarie qu’aucune civilisation mais qu’aucune antique Barbarie non plus n’aurait toléré.
Compte-rendu de visite par Françoise Grolet :
L’exposition « L’Infamille » au FRAC de Lorraine (entrée gratuite) a pour thème la famille.
- Dans une salle, l’artiste Gina Pane se taillade les lèvres au rasoir à côté d’un corps nu féminin (sa mère ?).
- Dans la deuxième salle, deux écrans présentent l’artiste Patty Chang en train d’embrasser sur la bouche sa mère et son père, tous pleurent à chaudes larmes, en fait le film est passé à l’envers et ils sont en train de régurgiter un oignon.
- Dans la troisième salle, consacrée à Eric Pougeau, trente-trois mots affichés au mur évoquent un post-it « tu as à manger dans le frigo – bonne journée mon chéri – maman ». Plan commun des mots : « Une phrase, puis : vous êtes notre chair et notre sang – à plus tard – papa et maman ».- Florilège des premières phrases :
« Nous allons faire de vous nos putes… vous violer… vous sodomiser et vous crucifier… vous coudre le sexe… vous tuer par surprise… vous pendre et baiser vos cadavres… filmer votre mort… »
L’artiste explique que « la famille est le lieu de tous les possibles, et même de l’impossible, du strictement hors des lois ». On allait le dire. Il n’est pas précisé qui étaient ses parents, mais il est clair que je n’aimerais pas être son enfant.
Tout cela est à vomir. Ma vision de la famille reste incomplète, car je n’ai pas trouvé la sortie vers deux autres salles, où des artistes exposent des vidéos mettant en scène des incestes…
Saisi par Françoise Grolet lui demandant de ne point tolérer pareille horreur le préfet de Lorraine Bernard Niquet a répondu ceci :
« Les FRAC favorisent depuis leur création en 1982 une meilleure connaissance des évolutions de la création contemporaine et permettent en cela l’accès aux démarches majeures de l’art le plus actuel.
Le FRAC de Lorraine s’inscrit de longue date dans cette histoire avec un intérêt tout particulier pour les œuvres à dimension politique et sociale. Le public est ainsi invité à porter un regard distancié et critique sur son époque.
La présente exposition intitulée « L’Infamille » pose très clairement la question de notre rapport à l’autre au travers de la cellule familiale. Les œuvres qui y sont présentées peuvent sembler parfois violentes, énigmatiques ou déroutantes. Il est alors du devoir de la structure grâce à la médiation de ses équipes pédagogiques de sensibiliser et de donner les clefs de compréhension au-delà de tout jugement. C’est d’ailleurs ce qu’a rappelé, lors du vernissage, le directeur régional des affaires culturelles.
Compte tenu de vos remarques, je tiens néanmoins à porter à votre connaissance qu’un panneau a été installé à l’entrée du FRAC signalant que certaines œuvres peuvent heurter certaines sensibilités notamment du jeune public ».
On méditera particulièrement sur « le devoir de la structure » !
Ah, la structure, expression chère à tous les zombies matriculesques administratifs et irresponsables de tous les régimes totalitaires !
Cette exposition constitue bien une injure à l’art, une injure à la civilisation française, une injure au christianisme. Mais elle est tout simplement l’expression d’une immense volonté de souillure. Elle pue le mal et la mort.
Villon, Henri IV, Rabelais, Verlaine, Baudelaire, tous nos écrivains de l’amour les plus délicats mais tout autant les plus verts, les plus gaulois, les plus paillards même, auraient dégueulé devant l’étalage d’une pareille exposition de malade, de sadique, de pervers. Elle est révélatrice de la perversion de l’Etat, au plus haut niveau, car Madame Christine Albanel, ministre de la Culture, la connaît ; elle ne pourra dire « je ne savais pas ». Au-dessus d’elle, messieurs Fillon et Sarkozy ne pourront pas dire non plus « je ne savais pas ».
Car l’infâme exposition du FRAC de Metz constitue non seulement une injure à la France, aux valeurs chrétiennes et humaines, une profanation de la dignité de la femme mais un crime contre l’humanité.
Naturellement l’AGRIF porte cette affaire devant la justice.