... Mais quid des 3 000 femmes françaises enlevées en Algérie ?
On ne peut qu’approuver les efforts de Nicolas Sarkozy pour obtenir la libération d’Ingrid Bétancourt qui subit avec tous les otages des tortionnaires communistes des FARC un long calvaire.
On les salue d’autant plus si on les compare au fait que les gouvernements précédents de la Ve République ne firent strictement rien, abominablement rien pour savoir ce qu’étaient devenues les 3 000 Françaises enlevées en Algérie en 1962.
L’honneur de Nicolas Sarkozy serait de permettre une réponse à cette angoissante question et d’accomplir au nom de la continuité de l’Etat français la repentance qui s’impose. Il prouverait ainsi qu’il refuse sans sélectivité idéologique les trous de mémoire dans les zones d’ombre de l’histoire de France.
On ne peut qu’approuver les efforts de Nicolas Sarkozy pour obtenir la libération d’Ingrid Bétancourt qui subit avec tous les otages des tortionnaires communistes des FARC un long calvaire.
On les salue d’autant plus si on les compare au fait que les gouvernements précédents de la Ve République ne firent strictement rien, abominablement rien pour savoir ce qu’étaient devenues les 3 000 Françaises enlevées en Algérie en 1962.
L’honneur de Nicolas Sarkozy serait de permettre une réponse à cette angoissante question et d’accomplir au nom de la continuité de l’Etat français la repentance qui s’impose. Il prouverait ainsi qu’il refuse sans sélectivité idéologique les trous de mémoire dans les zones d’ombre de l’histoire de France.