Ce blog est notamment lu, je le sais, par des centaines d’amis dans le grand sud. Certains m’ont demandé d’aller au-delà de mes positions de principe global sur les élections aux cas particuliers de Tarbes, de Pau et de Toulouse. Je le fais volontiers.
Si, comme je l’ai écrit hier, je constate la médiocrité générale des politiciens de la gauche ou de la droite, je ne nie pas du tout, bien sûr, que certains sont beaucoup plus idéologiquement pervers et socialement nuisibles que d’autres et qu’en politique on ne saurait éliminer les notions du pire et du moindre mal.
PAU
Lorsque j’exprime, en gros, l’opinion qu’en dernier ressort il ne faut jamais faire globalement le jeu de la gauche, c’est que la plupart du temps, les candidats de gauche représentent le pire. On me dit alors que j’ai une position symétrique de celle de Besancenot.
On peut toujours en effet observer des symétries en politique. La réalité c’est que vu de gauche, même l’extrémiste Besancenot refuse la politique du pire pour la gauche qui est de faire passer la droite.
Moi qui ne suis pas un extrémiste, je suis pour le principe de ne jamais, sauf exception argumentée, faire passer la gauche, qui est presque toujours pire que la droite dans la haine antinationale et antichrétienne.
Si je demande de battre François Bayrou, c’est qu’il représente le pire possible dans l’acharnement du discours du refus de toute influence de la morale chrétienne sur les lois. Lui seul, je le répète, protesta contre le fait que les églises sonnent le glas du décès de Jean-Paul II.
TARBES
Si je demande à mes amis de Tarbes, ma ville natale, de tout faire pour battre Glavany, c’est, je le rappelle encore, que ce dernier fut celui qui, dans la Nouvelle République des Pyrénées osa proférer l’énormité suivante : « Faire œuvre de laïcité aujourd’hui, c’est favoriser l’implantation des mosquées ».
TOULOUSE
Venons-en à Toulouse. Pourquoi Faire battre Pierre Cohen et donc faire élire Jean-Luc Moudenc ?
D’abord une constatation : en Midi-Pyrénées la gauche la plus sectaire tient tout ou presque tout. Elle a le monopole des médias avec la Dépêche du Midi et ses filiales et le contrôle par des journalistes trotskystes de l’essentiel des autres médias, radio et télévision. Elle tient le Conseil Régional avec le très sectaire et très totalitaire mais très efficace Martin Malvy. Elle tient aussi presque tous les Conseils Généraux. Grâce à ces derniers elle favorise, contrôle et finance des milliers d’associations qui, sous différentes activités, encadrent idéologiquement la population.
Quant au monde syndical, il est pour l’essentiel sous la coupe des deux factions dérivées du vieux parti stalinien et des communistes des organisations trotskystes.
Quant à leur poids dans l’Education dite Nationale et la désinformation que subit la jeunesse, point n’est besoin d’insister.
Certes, je n’oublie pas après ces rappels la responsabilité accablante, inexcusable de la fausse droite, elle-même pour l’essentiel culturellement débile et idéologiquement pervertie.
Mais voir arriver encore avec Pierre Cohen un socialiste au Capitole serait la consécration d’une totale domination socialiste dans notre région.
L’actuel maire Jean-Luc Moudenc, dont j’ai relevé il y a quelques mois une stupide déclaration sur la profanation des cimetières de Toulouse, ne m’enthousiasme certes pas politiquement. Mais il n’est pas toujours mal entouré. Je l’ai cotoyé pendant plusieurs années au Conseil Régional. Toujours courtois, il n’a jamais été haineux contre mes amis et moi. C’est un homme discret, travailleur et je suis persuadé de son honnêteté et de son intégrité. Enfin si ses choix de politique nationale sont sur bien des plans mauvais, sur le plan municipal ils ne le sont pas. Notamment il n’est pas un homme de subversion culturelle.
Je n’en dirai pas autant de Pierre Cohen, contre lequel je n’ai rien sur le plan personnel, mais auquel tout nous oppose politiquement et culturellement. Son élection comme maire de Toulouse équivaudrait à une submersion du Capitole par une camarilla beaucoup plus rouge que rose et l’utilisation pour les projets socialistes de la richesse de cette mairie grâce, il faut le reconnaître, à la saine gestion financière des équipes successives depuis les Baudis.
Voilà pourquoi, en tant que président de Chrétienté-Solidarité, du Cercle d’Amitié française juive et chrétienne, et des Cercles du Pays Libre, j’invite mes amis de Toulouse à ne pas faire la politique du pire et à préférer Jean-luc Moudenc à Pierre Cohen.
Si, comme je l’ai écrit hier, je constate la médiocrité générale des politiciens de la gauche ou de la droite, je ne nie pas du tout, bien sûr, que certains sont beaucoup plus idéologiquement pervers et socialement nuisibles que d’autres et qu’en politique on ne saurait éliminer les notions du pire et du moindre mal.
PAU
Lorsque j’exprime, en gros, l’opinion qu’en dernier ressort il ne faut jamais faire globalement le jeu de la gauche, c’est que la plupart du temps, les candidats de gauche représentent le pire. On me dit alors que j’ai une position symétrique de celle de Besancenot.
On peut toujours en effet observer des symétries en politique. La réalité c’est que vu de gauche, même l’extrémiste Besancenot refuse la politique du pire pour la gauche qui est de faire passer la droite.
Moi qui ne suis pas un extrémiste, je suis pour le principe de ne jamais, sauf exception argumentée, faire passer la gauche, qui est presque toujours pire que la droite dans la haine antinationale et antichrétienne.
Si je demande de battre François Bayrou, c’est qu’il représente le pire possible dans l’acharnement du discours du refus de toute influence de la morale chrétienne sur les lois. Lui seul, je le répète, protesta contre le fait que les églises sonnent le glas du décès de Jean-Paul II.
TARBES
Si je demande à mes amis de Tarbes, ma ville natale, de tout faire pour battre Glavany, c’est, je le rappelle encore, que ce dernier fut celui qui, dans la Nouvelle République des Pyrénées osa proférer l’énormité suivante : « Faire œuvre de laïcité aujourd’hui, c’est favoriser l’implantation des mosquées ».
TOULOUSE
Venons-en à Toulouse. Pourquoi Faire battre Pierre Cohen et donc faire élire Jean-Luc Moudenc ?
D’abord une constatation : en Midi-Pyrénées la gauche la plus sectaire tient tout ou presque tout. Elle a le monopole des médias avec la Dépêche du Midi et ses filiales et le contrôle par des journalistes trotskystes de l’essentiel des autres médias, radio et télévision. Elle tient le Conseil Régional avec le très sectaire et très totalitaire mais très efficace Martin Malvy. Elle tient aussi presque tous les Conseils Généraux. Grâce à ces derniers elle favorise, contrôle et finance des milliers d’associations qui, sous différentes activités, encadrent idéologiquement la population.
Quant au monde syndical, il est pour l’essentiel sous la coupe des deux factions dérivées du vieux parti stalinien et des communistes des organisations trotskystes.
Quant à leur poids dans l’Education dite Nationale et la désinformation que subit la jeunesse, point n’est besoin d’insister.
Certes, je n’oublie pas après ces rappels la responsabilité accablante, inexcusable de la fausse droite, elle-même pour l’essentiel culturellement débile et idéologiquement pervertie.
Mais voir arriver encore avec Pierre Cohen un socialiste au Capitole serait la consécration d’une totale domination socialiste dans notre région.
L’actuel maire Jean-Luc Moudenc, dont j’ai relevé il y a quelques mois une stupide déclaration sur la profanation des cimetières de Toulouse, ne m’enthousiasme certes pas politiquement. Mais il n’est pas toujours mal entouré. Je l’ai cotoyé pendant plusieurs années au Conseil Régional. Toujours courtois, il n’a jamais été haineux contre mes amis et moi. C’est un homme discret, travailleur et je suis persuadé de son honnêteté et de son intégrité. Enfin si ses choix de politique nationale sont sur bien des plans mauvais, sur le plan municipal ils ne le sont pas. Notamment il n’est pas un homme de subversion culturelle.
Je n’en dirai pas autant de Pierre Cohen, contre lequel je n’ai rien sur le plan personnel, mais auquel tout nous oppose politiquement et culturellement. Son élection comme maire de Toulouse équivaudrait à une submersion du Capitole par une camarilla beaucoup plus rouge que rose et l’utilisation pour les projets socialistes de la richesse de cette mairie grâce, il faut le reconnaître, à la saine gestion financière des équipes successives depuis les Baudis.
Voilà pourquoi, en tant que président de Chrétienté-Solidarité, du Cercle d’Amitié française juive et chrétienne, et des Cercles du Pays Libre, j’invite mes amis de Toulouse à ne pas faire la politique du pire et à préférer Jean-luc Moudenc à Pierre Cohen.