vendredi 23 novembre 2007

L'indécence négationniste des Marx merdias

Quatre vingt dix ans exactement après la révolution communiste d’octobre en Russie qui débutait l’ère du plus gigantesque, du plus criminel, du plus exterminateur système totalitaire que l’humanité ait connu, le communiste Besancenot bénéficie en ce moment de toute la complaisance des médias. De même que son tuteur Alain Krivine appelle à l’unité de toutes les factions, trotskyste et stalinienne, de la mafia léniniste, il exalte l’exemple de Che Guevara dont le culte idéologico-affairiste est une gigantesque escroquerie.
La revue Historia de décembre 2006 a justement consacré un numéro intitulé « l’autre vérité » à ce cinglé crasseux qui fut à Cuba l’exécuteur en chef des massacres de 20000 détenus, hommes de l’ancien régime puis révolutionnaires jugés trop timorés.
Devant l’échec de ses menées en Afrique, il éructait les pires injures racistes à l’égard des noirs.
Les « tee-shirt » proposés partout à l’effigie de ce psychopathe sont autant de glorification d’un fanatique sanguinaire.
Tolérer que l’on fasse encore entendre sur France-Inter des assemblées chantant l’Internationale, c’est accepter le plus stupéfiant des négationnismes.
Le comité international de contestation des Jeux Olympiques à Pékin aura à faire mémoire plus que jamais de l’immense criminalité communiste qui asservit, persécute et tue toujours de par le monde et menace à nouveau les libertés en France et en Espagne.