Avec le mélange d’ignorance affligeante et d’irrespect pour les figures les plus sacrées de notre histoire, plusieurs commentateurs de la nomenklatura de la mediacrassie, comparent sans vergogne Ségolène Royal à sainte Jeanne d’Arc. Cette dernière libéra pour une grande part la terre de France. Elle se battit contre les Anglais. Sans haine. Elle déclarait « j’aime les Anglais, chez eux ». Cela signifiait simplement qu’elle n’acceptait pas que la France soit soumise au pouvoir de l’étranger. Elle ramena le roi Charles VII sur le trône afin que revienne la paix entre les Français déchirés par la guerre entre Armagnacs et Bourguignons.
Sa prodigieuse et miraculeuse épopée, dont aucune explication rationaliste ne peut rendre compte, fut celle de la charité et de l’amour divin qui l’habitaient et la faisaient si douce pour les siens et même dans la guerre, pour les ennemis.
Ségolène Royal a montré l’autre soir son véritable visage. Par moments elle dévidait son discours avec le regard dur, obsessionnel, fanatique, de ces femmes commissaires du peuple des régimes révolutionnaires qui sans mollir, envoyaient à la mort les « ennemis de la révolution ».
En la regardant, l’œil noir de vindicte, le doigt agressif, elle me faisait penser à Dolorès Ibarruri, la célèbre et hideuse députée communiste aux Cortes, appelée « la pasionaria ». Cette dernière avait tendu le même doigt vengeur vers Calvo Sotelo, le talentueux député monarchiste, en hurlant : « cet homme parle pour la dernière fois ». En effet, peu après, le 13 juillet 1936, Calvo Sotelo allait être assassiné par des « guardias de asalto » du gouvernement du Frente Popular. Ce crime, avec des milliers d’autres, allait entraîner la guerre civile espagnole.
Sans doute Ségolène ne serait-elle pas capable, comme le faisait l’ogresse bolchevique Ibarruri, d’éventrer ses ennemis et de mordre dans leur cœur. On veut bien le croire. On l’espère. Mais rien, vraiment rien ne la fait ressembler à Jeanne d’Arc. Elle n’aime pas les étrangers chez eux. Elle en veut encore et toujours plus en France, et demain elle veut la Turquie en Europe et donc chez nous, la Turquie génocidaire, sans repentance aucune, de deux millions de chrétiens.
Jeanne d’Arc fut envoyée à la mort par l’évêque Cauchon à la suite de l’ignoble procès en sorcellerie mené par cet inquisiteur au service du pouvoir anglais.
Ségolène, elle, ne risque rien de la part de quelque évêque que ce soit. Il est encore parmi eux beaucoup d’émules de Cauchon dont les nouvelles formes d’inquisition persécutent toujours les défenseurs de la patrie. Ces Cauchons-là sont avec cette dame qui, par ironie du sort, s’appelle tristement Royal. Mais son prénom peut s’écrire Ségolhaine.
Jeanne d’Arc, elle, eut invité sans haine Nicolas Sarkozy à se convertir et à ne pas oublier que les lois des républiques ne sont légitimes que dans le respect de la loi de Dieu.
P.S. : Même si j’ai été attristé par les évolutions depuis des années et même les incohérences dans cette campagne des positions de Jean-Marie Le Pen que ses proches semblent ne pas vouloir ou pas pouvoir analyser, ce qui est suicidaire, je n’oublie nullement l’ignominie de la haine terroriste exacerbée contre lui pendant plus de vingt ans, et notamment en 2002, par toutes les forces politiciennes et médiatiques. Les amis et soutiens de Nicolas Sarkozy, messieurs Chirac et Juppé en tête, hurlaient alors avec tous les chacals de la gauche sans-culotte, tels, pendant la révolution française, les Girondins avec les Jacobins avant de se faire guillotiner par eux. Le Pen eut pu alors dire « Hodie mihi, cras tibi ». On verra bien si Nicolas Sarkozy a tiré les leçons du passé et a la volonté et la force de rompre avec la spécificité terroriste de la république française. On ne lui souhaite pas d’être guillotiné un jour par les camarades de Madame Ségolhaine.
Sa prodigieuse et miraculeuse épopée, dont aucune explication rationaliste ne peut rendre compte, fut celle de la charité et de l’amour divin qui l’habitaient et la faisaient si douce pour les siens et même dans la guerre, pour les ennemis.
Ségolène Royal a montré l’autre soir son véritable visage. Par moments elle dévidait son discours avec le regard dur, obsessionnel, fanatique, de ces femmes commissaires du peuple des régimes révolutionnaires qui sans mollir, envoyaient à la mort les « ennemis de la révolution ».
En la regardant, l’œil noir de vindicte, le doigt agressif, elle me faisait penser à Dolorès Ibarruri, la célèbre et hideuse députée communiste aux Cortes, appelée « la pasionaria ». Cette dernière avait tendu le même doigt vengeur vers Calvo Sotelo, le talentueux député monarchiste, en hurlant : « cet homme parle pour la dernière fois ». En effet, peu après, le 13 juillet 1936, Calvo Sotelo allait être assassiné par des « guardias de asalto » du gouvernement du Frente Popular. Ce crime, avec des milliers d’autres, allait entraîner la guerre civile espagnole.
Sans doute Ségolène ne serait-elle pas capable, comme le faisait l’ogresse bolchevique Ibarruri, d’éventrer ses ennemis et de mordre dans leur cœur. On veut bien le croire. On l’espère. Mais rien, vraiment rien ne la fait ressembler à Jeanne d’Arc. Elle n’aime pas les étrangers chez eux. Elle en veut encore et toujours plus en France, et demain elle veut la Turquie en Europe et donc chez nous, la Turquie génocidaire, sans repentance aucune, de deux millions de chrétiens.
Jeanne d’Arc fut envoyée à la mort par l’évêque Cauchon à la suite de l’ignoble procès en sorcellerie mené par cet inquisiteur au service du pouvoir anglais.
Ségolène, elle, ne risque rien de la part de quelque évêque que ce soit. Il est encore parmi eux beaucoup d’émules de Cauchon dont les nouvelles formes d’inquisition persécutent toujours les défenseurs de la patrie. Ces Cauchons-là sont avec cette dame qui, par ironie du sort, s’appelle tristement Royal. Mais son prénom peut s’écrire Ségolhaine.
Jeanne d’Arc, elle, eut invité sans haine Nicolas Sarkozy à se convertir et à ne pas oublier que les lois des républiques ne sont légitimes que dans le respect de la loi de Dieu.
P.S. : Même si j’ai été attristé par les évolutions depuis des années et même les incohérences dans cette campagne des positions de Jean-Marie Le Pen que ses proches semblent ne pas vouloir ou pas pouvoir analyser, ce qui est suicidaire, je n’oublie nullement l’ignominie de la haine terroriste exacerbée contre lui pendant plus de vingt ans, et notamment en 2002, par toutes les forces politiciennes et médiatiques. Les amis et soutiens de Nicolas Sarkozy, messieurs Chirac et Juppé en tête, hurlaient alors avec tous les chacals de la gauche sans-culotte, tels, pendant la révolution française, les Girondins avec les Jacobins avant de se faire guillotiner par eux. Le Pen eut pu alors dire « Hodie mihi, cras tibi ». On verra bien si Nicolas Sarkozy a tiré les leçons du passé et a la volonté et la force de rompre avec la spécificité terroriste de la république française. On ne lui souhaite pas d’être guillotiné un jour par les camarades de Madame Ségolhaine.