Nous entendons dans les média M. François Bayrou parler de ses choix politiciens comme s’il entreprenait un héroïque combat au péril de sa vie face à un oppresseur impitoyable.
Avec componction, avec gravité, avec solennité, avec la voix basse de ceux qui affrontent les jours sombres de la clandestinité, il évoque sa volonté de résistance face aux pressions de Nicolas Sarkozy comme si celui-ci était une sorte de monstre hitléro-stalinien.
M. Bayrou ose inscrire la création de son parti démocrassouillard dans la tradition des grands moments de résistance de notre peuple. On s’attend à ce qu’il prenne le chant des Partisans comme hymne de son organisation.
Ceci est d’une indécence totale à l’égard de ceux qui sont tombés sous les balles ennemies, de ceux qui sont morts dans les camps du nazisme et du communisme, de ceux qui ont été torturés par le FLN.
M. Bayrou n’a de sa vie jamais rejoint quelque résistance que ce soit, ni face au communisme, ni face à l’islamisme.
Son parcours militant va de campagnes électorales sans risque à l’activité parlementaire et ministérielle sans danger.Il parle comme s’il prenait les risques d’un Charrette, d’un d’Estiennes d’Orves ou d’un Bastien-Thiry.
On hésite à savoir s’il faut le qualifier d’odieux ou de grotesque. Quoiqu’il en soit, il est ridicule, il est indécent.
Avec componction, avec gravité, avec solennité, avec la voix basse de ceux qui affrontent les jours sombres de la clandestinité, il évoque sa volonté de résistance face aux pressions de Nicolas Sarkozy comme si celui-ci était une sorte de monstre hitléro-stalinien.
M. Bayrou ose inscrire la création de son parti démocrassouillard dans la tradition des grands moments de résistance de notre peuple. On s’attend à ce qu’il prenne le chant des Partisans comme hymne de son organisation.
Ceci est d’une indécence totale à l’égard de ceux qui sont tombés sous les balles ennemies, de ceux qui sont morts dans les camps du nazisme et du communisme, de ceux qui ont été torturés par le FLN.
M. Bayrou n’a de sa vie jamais rejoint quelque résistance que ce soit, ni face au communisme, ni face à l’islamisme.
Son parcours militant va de campagnes électorales sans risque à l’activité parlementaire et ministérielle sans danger.Il parle comme s’il prenait les risques d’un Charrette, d’un d’Estiennes d’Orves ou d’un Bastien-Thiry.
On hésite à savoir s’il faut le qualifier d’odieux ou de grotesque. Quoiqu’il en soit, il est ridicule, il est indécent.