Bernard Antony, président de l’AGRIF, directeur de la revue Reconquête, fondateur de Chrétienté-Solidarité, communique :
A Marseille, ce dernier mercredi, les Galeries Lafayette ont été la cible d’une incroyable razzia par toute une faune à l’évidence « culturellement maghrébine ». Les vidéos en notre possession montrent que tous les stands de vêtements, de chaussures, de parfums ont été systématiquement pillés alors que des « fatmas » étaient assises, accroupies sous leurs voiles en attendant tranquillement la fin des pillages.
Cependant, notre compatriote, le grand écrivain franco-algérien Boualem Sansal, atteint d’un cancer, demeure reclus dans une geôle du pouvoir barbaresque du président Tebboune qui le fit incarcérer l’an dernier à sa descente à Alger d’un avion en provenance de Paris.
Sur les pillages de Marseille, le durable silence médiatique depuis trois jours est accablant. On ne saurait hélas s’en étonner alors que l’incurie du gouvernement Macron-Lecornu apparaît désormais comme un phénomène général.
Néanmoins, de pareils faits délictueux significatifs de l’ensauvagement immigrationniste de notre société ne sont rien en regard de l’infinie atrocité du crime sadique perpétré à Paris le 14 octobre 2022 par l’algérienne Dahbia Benkired, tortionnaire de la petite fille Lola Daviet-Ropital.
Le procès pour juger de cette immense criminelle a commencé ce vendredi à la Cour d’assise de Paris.
Selon le droit actuel, Dahbia Benkired encourt bien sûr la réclusion criminelle à perpétuité pour le meurtre qu’elle a commis sur une enfant de moins de 15 ans, subissant tortures, viol et actes de barbarie d’une infinie cruauté, bâillonnée, étouffée, asphyxiée par du ruban adhésif. Pareil crime pose évidemment la question du rétablissement de la peine de mort pour des assassins tels que Dahbia Benkired s’étant dépossédés de leur humanité. C’est ce qu’avait notamment développé le grand écrivain catholique, le Père Bruckberger, « l’aumônier de la Résistance ».