lundi 28 juillet 2025

Les libres propos d’Alain Sanders

 

La liesse populaire du Tour de France versus la chienlit racailleuse du PSG qatari : plus qu’un symbole…

Ce 27 juillet, le Tour de France s’est achevé à Paris avec la victoire sans appel du Slovène Tadej Pogačar. Sur une dernière étape épique qui, sous la pluie (ce qui n’a découragé personne), a conduit le peloton dans les rues pentues du Mont des Martyrs, Montmartre.

Les images diffusées sur les chaînes télé sont là pour témoigner de ce grand moment de fête populaire très franco-française d’un Tour de France qui, chaque année, rassemble des millions de spectateurs. Sans verser jamais dans la chienlit et le chaos ethnique-ta-mère.

De vibrantes Marseillaise reprises par des milliers de poitrines rue Lepic, près du Moulin de la Galette, place Blanche, au seuil des marches du Sacré-Cœur. Et, pour ajouter à l’ambiance « bals populaires » chère à Michel Sardou, des chansons résolument franchouillardes de Charles Aznavour, Claude François, Sheila, France Gall, Pierre Bachelet. Pas de rap, pas de zinzins exotiques, pas de walla, mon frère (comme dit Macron), pas de cris de haine, pas de wesh-wesh. Pas d’assauts haineux contre les forces de l’ordre. Et tout au contraire : dimanche, à Montmartre, elles ont été applaudies et remerciées à plusieurs reprises.

Certains médias se sont risqués – prudemment, de façon gazée, sans aller jamais aux conclusions, n’empêche… – à s’interroger sur ce qui vient à l’esprit de tous. Pourquoi le Tour de France et ses centaines de milliers de braves gens (des Français et nos voisins européens souvent très enthousiastes et démonstratifs pourtant) reste bon enfant de bout en bout quand les « célébrations » du PSG qatari donne systématiquement lieu à des scènes d’émeute dans un Paris livré à la racaille ? 

La réponse – mais ne comptez pas sur les médias pour vous la donner crûment – est simple et évidente : nous sommes en présence de deux « entités » qui sont dorénavant face à face. Qui ne partagent plus rien. D’un côté La Marseillaise, des floraisons de drapeaux français et ceux des coureurs étrangers engagés sur le Tour, des familles venues faire partager aux gamins – en famille justement – des émotions déjà immémoriales (le premier Tour est de 1903) et des valeurs : effort, sacrifice, esprit d’équipe, abnégation.

De l’autre, les supposés supporters d’un club de foot – le « Paris-Saint-Germain » qui n’a rien à voir avec Paris et rien avec Saint-Germain – avec des mercenaires milliardaires gavés de fric par le Qatar (pourvoyeur par ailleurs des islamistes les plus radicaux). Et des emblèmes qui résument le problème : drapeaux palestiniens, algériens, marocains, tunisiens. Une haine affichée de tout ce qui symbolise la France et ses autorités. Ils sont chez nous, mais ils ne se veulent pas être de chez nous. Ils nous le disent, ils nous le crient, ils nous le crachent. Et ils le manifestent à chaque occasion. 

Comme dit Darmanin (qui semble oublier qu’il a été ministre de l’Intérieur de Macron et qu’il est aujourd’hui à la Justice), il n’y a plus un seul endroit safe dans notre pays. Les grandes villes bien sûr. Mais aussi les villes moyennes : Limoges, Béziers, Saint-Avold, Charleville-Mézières, Albi, Blagnac, Lunel, Auch, etc. Et désormais les plus petites, comme cette commune de la Manche, Jullouville où un restaurateur et son épouse ont été tabassés par une bande de racailles (car ils chassent en meute comme les lycaons). 

Ces « fauteurs de trouble » (comme on le dit frileusement de crainte d’en dire plus) sont à plus de 80% issus de l’immigration extra-européenne. Ne pas le dire franchement et continuer à parler de « jeunes » – ce qui est faire injure à la jeunesse saine de notre pays, soit dit en passant –, c’est s’interdire de s’attaquer aux racines du mal.

En Angleterre, en Irlande, en Écosse, dans de nombreux pays de l’Est, c’est le peuple des braves gens devenus des gens braves qui descendent dans la rue (au risque de bavures pas toujours évitables) aux cris de « Migrants, vous n’êtes pas les bienvenus ! ». Il n’est pas dit que le peuple français, le peuple bon enfant du Tour de France, ne change pas lui aussi radicalement de braquet un de ces quatre…

Alain Sanders