lundi 24 juillet 2023

Les libres propos d'Alain Sanders

 

La police islamiste des mœurs est installée en France

Reportage d'été à La Courneuve, ville de la Seine-Saint-Denis occupée, où la mairie a installé une sorte de plage de circonstance pour les « jeunes », ces petits anges comme dirait l'infect Mbappé. Avec des jeux et un bassin où se baigner. Une piscine où sont interdits dans l’eau les shorts, les tee-shirts et les burkinis.

Cette interdiction du burkini (qui, à Mandelieu, dans le sud, a pourtant les faveurs du Conseil d’État...) déplaît fortement aux voilées du coin. L'une d'entre elle le dit sans détour à la télé : « Ici, c'est la banlieue, y'a que des musulmans, pourquoi interdire le burkini ! »

Tout est dit. « Ici, c'est la banlieue » : nous ne sommes pas en France, nous sommes chez nous, entre nous, les lois françaises ne nous concernent pas. « Y'a que des musulmans » : nous sommes majoritaires, c'est donc nos mœurs et notre loi – la charia – qui doivent s'appliquer.

Toujours en Seine-Saint-Denis, à Saint-Denis, ville du Grand Remplacement,  menaces répétées contre des femmes archéologues qui mènent des fouilles pour mettre au jour des vestiges de ce que fut avant, naguère, jadis, la très chrétienne ville de nos rois. Ces femmes sont régulièrement interpellées, insultées, menacées.

Au motif qu'elles portent des débardeurs (ce qui par plus de 30° est compréhensible) et que les talibans du secteur, qui trouvent déjà anormal et haram (péché) que des femmes participent aux fouilles, jugent « indécentes » ces tenues estivales. Des talibans mâles, mais aussi des femmes, vêtues façon Bélphégor, qui interpellent quotidiennement les archéologues en leur faisant honte de leur « impudicité »...

A Toulouse, jadis cité des troubadours et de l'amour courtois, la police islamiste à l'iranienne est passée à l'action dans la nuit du 18 au 19 juillet.

Ce soir-là, boulevard Carnot, en plein centre-ville, une jeune femme âgée de 19 ans et son amoureux croisent la route de quatre racailles : deux garçons et deux filles entre 14 et 17 ans. Les racailles arrêtent violemment le couple : parce qu'ils jugent que la tenue de la jeune Toulousaine de souche est « inappropriée »... 

Très vite, alors que le jeune homme veut défendre son amie physiquement agressée, tout dégénère : il est tabassé par les deux racailles mâles tandis que les deux racailles femelles s'acharnent sur la jeune fille. A coups de tessons de bouteille.

Grâce aux images de vidéoprotection, la police municipale va pouvoir intervenir avant que soit commis l’irréparable et arracher la malheureuse des mains des furies. Le visage en sang, en état de choc, la jeune fille sera conduite aux urgences. Elle est irrémédiablement défigurée... Faut-il préciser que les deux racailles mâles sont déjà connues des services de police ?

Relatant ce « fait divers » de façon très mezzo voce, le journal 20 Minutes écrit qu'il s'agit d'une « malheureuse rencontre ». Sans autre précision de l’identité des agresseurs.... Les salauds...

Dans la comédie musicale Notre-Dame de Paris, on chantait : « Il est venu le temps des cathédrales ». N'est-il pas temps de hurler qu'il est venu le temps des représailles... Et sans état d'âme superflu.

Alain Sanders