Il faut vraiment des pseudo-écologistes tels que Eric Piolle le maire EELV de Grenoble et la majorité de ses conseillers municipaux soumis aux diktats de l’islamo-gauchisme pour avoir commis la mauvaise farce de légaliser dans les piscines municipales l’enveloppement de personnes de sexe féminin dans des sortes de sacs appelés « burkinis ».
Il n’est pas besoin de nous étendre ici dans des précisions scabreuses sur ce que ces burkinis peuvent dissimuler de contraire aux règles d’hygiène les plus élémentaires.
La lecture des livres des « hadiths » du prophète, que ce soient notamment ceux d’Al-Boukhari ou de Muslim, est d’ailleurs, en maints passages, pas toujours ragoutante.
Quoiqu’il en soit, les burkinis peuvent non seulement recouvrir des centres d’incubation microbienne qu’il n’est point besoin de détailler ici mais d’autre part, on le sait, l’imprégnation par le chlore des tissus de la vêture islamo-compatible entraîne des réactions chimiques qui peuvent être désagréables pour le commun des baigneurs.
Le très givré Eric Piolle, en bon dialecticien marxiste, s’est également prononcé pour en quelque sorte l’antithèse de la baignade burkinale: celle de la liberté d’un déshabillement plus complet des naïades municipales pouvant faire montre de la variété de leurs seins nus.
On peut certes ne pas se priver de goguenardiser marxistement sur cela :
-Thèse : le burkini
-Antithèse : le naturisme plus ou moins intégral
Mais le drame, c’est qu’on voit mal ou serait la synthèse de cette dialectique ?
Trêve de plaisanterie, comment cet imbécile de Piolle ne voit-il pas qu’inéluctablement, les islamistes pro-burkinis exigeront que leur pudeur ne soit pas offensée par les adeptes de la poitrine découverte ?
Les piscines municipales deviendront-elles ainsi soit des territoires du « dar-el-islam » soit des espaces de triomphe des mécréantes et mécréants ?
Burkinis d’un côté ; de l’autre : « j’enlève le haut ». Détails diront certains. Que nenni ! Le diable ne se cache t-il pas dans les détails ?
L’Agrif défend simplement les traditions de l’identité française qui en l’occurrence appellent simplement au refus symétrique de l’empaquettement burkinal et des exhibitions affligeantes, c’est tout simplement le modèle de la femme française de notre civilisation.