À la nouvelle du dernier assassinat, celui de la policière Stéphanie, les dirigeants politiques, une fois encore, ne se sont pas distingués par le courage de la vérité.
Comme pour chaque attentat, ils l’ont, sans se fatiguer, répétitivement déclaré « odieux », exprimant « la plus grande indignation » et leur « totale détermination » pour « qu’une justice ferme et exemplaire châtie les auteurs ou les complices avec la plus grande sévérité ».
Bref, toujours les mêmes mots, toujours le même refrain, indéfiniment resservis sur le grand air du courroux républicain.
Castex les a dévidés, impavide, manifestant une fois de plus solennellement que le terrorisme ne l’emportera pas. Lui, comme les autres, a tenu à exprimer conformistement sa forte conviction que « chaque fois que des forces de l’ordre sont frappées, ce sont des symboles de la République que l’on a voulu abattre ».
Ce qui, à y réfléchir seulement dix secondes, ne signifie à peu près rien.
Comme si les tueurs étaient d’abord des intellectuels ennemis du système républicain ! Car pour s’en prendre à des symboles de la République, ils n’auraient que le choix entre bustes de Marianne, drapeaux tricolores, frontons des mairies.
Comme s’ils n’étaient pas avant tout de furieux et sanguinaires fanatiques pétris de haine contre les Français coupables à leurs yeux de n’être pas soumis à l’idéologie islamique et à sa charia !
Certes, tous les musulmans habitant en France ne sont pas ce que l’on appelle des « islamistes », c’est-à-dire des adeptes de l’islam intégral. Et tous les islamistes, qui constituent, qu’on le veuille ou non, de vastes ensembles de l’islam réel, ne sont pas des terroristes.
Mais quand donc les responsables – ou plutôt les irresponsables – politiques qui gouvernent la France voudront-ils enfin se rendre à l’évidence de ce que l’islam réel, comme dès le VII° siècle, et si souvent au long de son histoire conquérante, n’a pour objectif que de n’offrir aux populations à conquérir que le choix entre la dhimmitude et le jihâdisme. Et que cet « idéal » pan-islamique est peu ou prou partagé par de vastes pans des populations immigrées encadrées par les États de leurs pays d’origine, tels que l’Algérie ou la Turquie.
Une chose encore :
- Pour considérer après tant d’autres crimes islamistes les deux assassinats actuellement au cœur de l’actualité judiciaire et policière, il apparaît à nouveau que les experts requis par la justice mettent très fréquemment en avant, sinon presque toujours, une simultanéité de la conviction islamiste et de graves troubles du psychisme. Est-ce alors la folie qui fait l’islamiste ou l’islamisme qui rend fou ?
Réfléchir à cela, c’est s’interroger sur l’irréfutable réalité que les frères musulmans (« Musulmans de France ») et autres associations, confréries et mosquées islamistes représentent plusieurs centaines de milliers d’adeptes, masse sans cesse grossie par les déferlantes de la tsunamigration islamique.
Heureusement, il n’aura fallu que quelques dizaines d’années à une Valérie Pécresse pour qu’elle puisse se demander s’il ne faudrait pas s’interroger sur « un lien entre terrorisme et immigration » !
Mais n’est-il pas temps en effet pour les gouvernants et responsables politiques, mais aussi culturels et religieux, ayant sans cesse accepté, favorisé, encouragé l’immigration et par là fait le lit du terrorisme, de reconnaître qu’ils sont grandement les responsables des crimes et attentats islamistes ?