· Nouvelle victoire à Poitiers !
J’apprends ce matin par
Jérôme Triomphe l’excellente nouvelle de la relaxe générale par la Cour d’appel
de Poitiers des courageux militants
identitaires qui avaient été scandaleusement très lourdement condamnés par le
tribunal pour avoir tout simplement tendu une banderole sur le chantier de la
mosquée de Poitiers.
L’imam de cette mosquée
est un membre de « musulmans de France », l’organisation islamiste
filiale des Frères musulmans.
Car, pour eux, très
explicitement, cette mosquée est le symbole d’une revanche sur… Charles Martel,
le vainqueur en 732 de la bataille libératrice que l’on sait.
Il faut aujourd’hui
féliciter tous les avocats pour cette victoire judiciaire : Dassa, Dufour,
Pichon, Des Minières et… Triomphe, au nom si beau !
Et gloire soit,
aujourd’hui plus que jamais, à Charles Martel et à ses guerriers qui ont évité
pour des siècles à la France de connaître le sort de l’Espagne si longtemps
mise en dhimmitude.
· Le remords de la procureur en retraite Eliane Houlette.
Le moins qu’on puisse
dire, c’est que « l’affaire Fillon » connaît depuis hier un
rebondissement inattendu remettant à l’ordre du jour les débats sur l’indépendance
de la justice.
On se souvient de ce que
des révélations en cascade sur les emplois fictifs de Pénélope Fillon avaient
porté un coup décisif à la campagne de son mari, facilitant ainsi l’élection d’Emmanuel
Macron.
Alors que d’ordinaire
des enquêtes financières analogues prennent environ deux ans, celle sur les
Fillon fut pliée en moins d’un mois.
Il était bien sûr
évident que le pouvoir exécutif, François Hollande étant le chef de l’État et
Jean-Jacques Urvoas ministre de la justice, n’avait pu être étranger à une
pareille rapidité… d’exécution.
Or, voilà que celle qui
était alors procureur du Parquet national financier (PNF), Eliane Houlette, a
été entendue le 10 juin devant la commission de l’Assemblée Nationale,
consacrée aux obstacles à l’indépendance du pouvoir judiciaire.
Et l’on apprend hier qu’elle
y a révélé avoir été victime des pressions hiérarchiques du Parquet général,
qui n’a évidemment pas pu alors agir ainsi hors des instructions
gouvernementales.
Mieux vaut tard que
jamais !
Et c’est sans doute sous
la pression de son remords que madame Houlette a enfin dit toute sa vérité aux
députés. N’affirmait-elle pas en effet encore il y a un an : « Je n’ai jamais subi aucune pression » ?
Que dit de cela
Jean-Jacques Urvoas ? Qu’en dit le sieur François Hollande ?
· Bouteldja, Bouamama, Traoré et cie, leurs masques commencent
à tomber !
Enfin, les lignes
commencent à bouger !
Avec l’AGRIF, nous avons
trop longtemps été les seuls à attaquer le racisme absolu de l’islamo-gauchiste
Houria Bouteldja et de son mentor le « sociologue » Saïd Bouamama, le
rédacteur de « Nique la France » ! Tout un programme !
Et voilà qu’est apparue
avec Assa Traoré une nouvelle égérie de « l’antiracisme » exploitant
désormais le filon de « l’anti-esclavagisme ».
Mais nos efforts
portent.
De plus en plus circule
notre expression très pédagogique : « L’antiracisme est un racisme en sens contraire ». Mais voilà
aussi que progresse enfin l’évidence de ce que l’anti-esclavagisme professé par
ces donzelles arabo-musulmanes est du même acabit que leur antiracisme !
Houria Bouteldja exalte
le passé d’un pays qui ne s’appelait pas encore Algérie mais sous domination
esclavagiste des barbaresques. Assa Traoré, pour sa part, fille d’un père ayant
eu quatre épouses, est fière de sa grande tribu des Soninkés, remarquable par
sa réussite jusqu’au siècle dernier dans une de ses activités essentielles :
le trafic d’esclaves !