vendredi 19 juin 2020

De quoi se réjouir !


·       Nouvelle victoire à Poitiers !

J’apprends ce matin par Jérôme Triomphe l’excellente nouvelle de la relaxe générale par la Cour d’appel de Poitiers  des courageux militants identitaires qui avaient été scandaleusement très lourdement condamnés par le tribunal pour avoir tout simplement tendu une banderole sur le chantier de la mosquée de Poitiers.

L’imam de cette mosquée est un membre de « musulmans de France », l’organisation islamiste filiale des Frères musulmans.

Car, pour eux, très explicitement, cette mosquée est le symbole d’une revanche sur… Charles Martel, le vainqueur en 732 de la bataille libératrice que l’on sait. 

Il faut aujourd’hui féliciter tous les avocats pour cette victoire judiciaire : Dassa, Dufour, Pichon, Des Minières et… Triomphe, au nom si beau !

Et gloire soit, aujourd’hui plus que jamais, à Charles Martel et à ses guerriers qui ont évité pour des siècles à la France de connaître le sort de l’Espagne si longtemps mise en dhimmitude.


·       Le remords de la procureur en retraite Eliane Houlette.

Le moins qu’on puisse dire, c’est que « l’affaire Fillon » connaît depuis hier un rebondissement inattendu remettant à l’ordre du jour les débats sur l’indépendance de la justice.

On se souvient de ce que des révélations en cascade sur les emplois fictifs de Pénélope Fillon avaient porté un coup décisif à la campagne de son mari, facilitant ainsi l’élection d’Emmanuel Macron. 

Alors que d’ordinaire des enquêtes financières analogues prennent environ deux ans, celle sur les Fillon fut pliée en moins d’un mois.

Il était bien sûr évident que le pouvoir exécutif, François Hollande étant le chef de l’État et Jean-Jacques Urvoas ministre de la justice, n’avait pu être étranger à une pareille rapidité… d’exécution.

Or, voilà que celle qui était alors procureur du Parquet national financier (PNF), Eliane Houlette, a été entendue le 10 juin devant la commission de l’Assemblée Nationale, consacrée aux obstacles à l’indépendance du pouvoir judiciaire. 

Et l’on apprend hier qu’elle y a révélé avoir été victime des pressions hiérarchiques du Parquet général, qui n’a évidemment pas pu alors agir ainsi hors des instructions gouvernementales.

Mieux vaut tard que jamais !

Et c’est sans doute sous la pression de son remords que madame Houlette a enfin dit toute sa vérité aux députés. N’affirmait-elle pas en effet encore il y a un an : « Je n’ai jamais subi aucune pression » ?

Que dit de cela Jean-Jacques Urvoas ? Qu’en dit le sieur François Hollande ? 


·       Bouteldja, Bouamama, Traoré et cie, leurs masques commencent à tomber !

Enfin, les lignes commencent à bouger ! 

Avec l’AGRIF, nous avons trop longtemps été les seuls à attaquer le racisme absolu de l’islamo-gauchiste Houria Bouteldja et de son mentor le « sociologue » Saïd Bouamama, le rédacteur de « Nique la France » ! Tout un programme !

Et voilà qu’est apparue avec Assa Traoré une nouvelle égérie de « l’antiracisme » exploitant désormais le filon de « l’anti-esclavagisme ». 

Mais nos efforts portent. 

De plus en plus circule notre expression très pédagogique : « L’antiracisme est un racisme en sens contraire ». Mais voilà aussi que progresse enfin l’évidence de ce que l’anti-esclavagisme professé par ces donzelles arabo-musulmanes est du même acabit que leur antiracisme !

Houria Bouteldja exalte le passé d’un pays qui ne s’appelait pas encore Algérie mais sous domination esclavagiste des barbaresques. Assa Traoré, pour sa part, fille d’un père ayant eu quatre épouses, est fière de sa grande tribu des Soninkés, remarquable par sa réussite jusqu’au siècle dernier dans une de ses activités essentielles : le trafic d’esclaves !