« La révolution
ne s’est pas contentée de faire tomber des têtes, depuis elles tournent » (Joseph de
Maistre)
« Ils ne
mouraient pas tous mais tous étaient frappés (Les animaux
malades de la peste, Jean de La Fontaine)
- Allah
Akbar : assassinats islamistes à Roman-sur-Isère
Le
virus venu de Chine communiste ne doit pas en cacher d’autres.
À
l’islam « patte blanche » on ouvre chaque jour un peu plus de portes,
sous le prétexte absurde que ne pas le faire entraînerait toujours plus la
colère de l’islam « mains rouges ». Et c’est ainsi qu’à Romans-sur-Isère,
le 4 avril, un « réfugié » soudanais a perpétré un véritable massacre
au couteau faisant deux morts et sept blessés. Criant « Allah Akbar » !
L’islam
jihâdiste fait ainsi chaque jour des dizaines de victimes dans le monde. Depuis
la révolution iranienne de 1979, il en a massacré des centaines de milliers, de
l’Iran des Pasdarans au Nigeria de Boko-Haram, des hécatombes d’Al-Qaïda à
celles de l’État islamique.
Mais
que viennent donc faire en France des musulmans « demandeurs
d’asile » soudanais ? Comme si le Soudan n’était pas un État
musulman, un pays dans lequel rien ne justifie que l’on s’en aille en exil en
France ! Sinon l’imbécilité faussement charitable des « accueillants »
français de tous poils pseudo-humanitaires. Il n’y a semble-t-il aucun vaccin
contre cette imbécilité. L’immigrationnisme est ainsi objectivement criminel
car il y a des demandeurs d’asile qui ne viennent que pour tuer.
- L’immense
abomination totalitaire de la Chine communiste et ses collabos
Voici
enfin quelques commentateurs médiatiques – pas beaucoup ! – s’interrogeant
sur la responsabilité du régime du camarade Xi Jinping dans la propagation du
coronavirus. Par là, peut-être, vont-ils réfléchir un peu à partir du fait que
les médecins, que les jeunes journalistes qui ont, les premiers, révélé son
apparition, ont été aussitôt mis hors d’état de nuire, selon les usages du
grand empire rouge : emprisonnés ? liquidés ?
Peut-être
encore, certains se demanderont-ils si, en effet, une enquête sur l’origine
même du virus ne sera pas un jour souhaitable. Et même nécessaire comme nous
l’avons déjà dit.
Mais
ne va-t-il pas falloir désormais, comme nous ne cessons de le faire dans Reconquête,
dans nos émissions sur Radio-Courtoisie,
mettre encore plus en cause l’abomination des collabos du régime le plus
gigantesquement totalitaire que le monde ait connu à ce jour après les chutes
du nazisme et du communisme occidental ? Ces collabos ont été, bien sûr,
les compagnons de route idéologiques du marxisme-léninisme maoïste. Mais il y a
moralement bien plus abjects encore : les acteurs de la ténébreuse
alliance entre le régime de la Chine communiste et le capitalisme mondialiste.
Sans le moindre souci de la réalité de l’enfer du laogaï, le goulag
chinois ; sans le moindre souci du génocide du Tibet ; sans le
moindre opprobre contre un régime qui tient son peuple en esclavage comme on
l’a vu jadis lors des massacres d’étudiants sur la place Tien An Men et dans
cent autres villes du pays ; ces étudiants qui défilaient par centaines de
milliers, applaudis, soutenus, par l’énorme majorité de la population.
Car,
hors de la nomenklatura du parti et de l’armée « nationale
populaire » et des tentaculaires structures policières, les Chinois
n’aspiraient qu’à être libérés de l’hydre communiste.
Mais
c’est avec ce parti, traînant derrière lui la continuité de plus de soixante
millions de « liquidés » depuis la conquête maoïste, et d’une masse innombrable
de victimes, que traitaient les dirigeants de nos grandes industries et ceux,
grassement stipendiés, du lobby chinois.
Mais
il y a eu pire, car ces derniers, matérialistes et cyniques, peuvent se
réfugier sous l’invocation du traditionnel « business is business ».
Et, au moins, n’ont-ils pas avancé en se couvrant des gigantesques abominations
de la politique vaticane notamment proférées par un des grands acteurs de la
politique du pape François, monseigneur Marcelo
Sanchez Sorondo. Ce dernier, fait chancelier par François de deux académies
pontificales, celle des Sciences et celle des Sciences sociales, ne
déclarait-il pas parmi d’autres suffocantes assertions : « En ce moment, ceux qui mettent le
mieux en pratique la doctrine sociale de l’Église, ce sont les Chinois »
(8 mars 2018). Il ne parlait évidemment pas des Chinois des camps et des
prisons sur lesquels, sous l’autorité du parti communiste, on prélève les organes
vitaux à greffer sur les malades les plus dignes de soin de la nomenklatura ou
sur les riches acheteurs des trafics de la marchandisation humaine mondialiste.
Comment
oublier que c’est à ce pays qui, avec toute sa puissance de terrorisme d’État,
vient de mentir sur le coronavirus, que le pape François a livré l’Église
catholique de Chine, en ordonnant la fusion de l’Église officielle sous
direction du parti et de l’Église clandestine restée fidèle à Rome quel qu’en
soit le prix.
Depuis,
la persécution contre les deux églises fusionnées n’a pourtant cessé de
s’amplifier, la situation devenant « désespérée » comme l’a déclaré
l’héroïque cardinal Joseph Zen, évêque émérite de Hong Kong, dénonçant
explicitement la « trahison »
du Vatican.
La
responsabilité de François est en effet immense. La Chine communiste, son
modèle de doctrine sociale de l’Église, non seulement écrase en effet le
christianisme en Chine mais elle est responsable de la propagation du
coronavirus.
À
la mesure de cette responsabilité serait sa démission.
- Euthanasie sans le dire ?
Le
pharmacien Serge Rader, invité par André Bercoff sur Sud-Radio, a gravement mis en cause l’utilisation par certains
médecins, dans les E.H.P.A.D., du médicament antiépileptique Rivotril, à des
fins d’euthanasie. Le nombre de décès, actuellement, dans ces établissements,
est en effet très supérieur à la normale : trois fois plus.
Bien
sûr, du fait du coronavirus particulièrement meurtrier sur des personnes âgées
et fragiles. Mais cela n’expliquerait pas tout. Selon Serge Rader et plusieurs
médecins, le Rivotril serait utilisé comme médicament de soins
« palliatifs », donc d’accompagnement à la mort, parce qu’il y a
actuellement une carence dramatique de médicaments pour la continuation de la
vie dans ces établissements.
Si
ces faits étaient avérés, il va de soi qu’ils relèveraient d’une pratique
d’euthanasie d’autant plus criminelle qu’infligée à des personnes pensant être
soignées.
Sur
cela aussi, comme sur les non-approvisionnements en médicaments, des enquêtes
judiciaires devront être ouvertes. Ainsi que sur les raisons réelles des
agissements contre la prescription de chloroquine sans attendre un état aggravé
des malades.
- God save the queen !
Sacrée
Elisabeth II !
Je
ne suis pas un admirateur inconditionnel de la monarchie anglicane qui a si mal
commencé avec son épouvantable fondateur, assassin de deux de ses épouses et
envoyant à la mort, dans les pires supplices, ses opposants catholiques et
autres. Et triste chose aussi que son acceptation contemporaine, sans le
moindre signe de résistance, de toute la subversion sociétale.
Mais,
certes, convenons-en, la reine n’a pas de pouvoirs réels et ne peut guère agir,
sauf exceptionnellement, selon ce qu’elle peut penser. Du moins, est-elle
toujours comme l’incarnation émouvante d’une tradition au service d’une
persistante idée d’unité britannique et, vaille que vaille, des quelques liens
symboliques d’appartenance au Commonwealth.
Cette
reine aura été admirable dans son rôle hautement symbolique tout au long d’un
règne commencé de fait par sa présence dans Londres bombardée, avant même son
couronnement en 1952. Elle est, à sa manière, un géant de l’histoire. En
comparaison, nos derniers présidents de la République ne sont qu’insignifiants.