lundi 6 avril 2020

Mon blog en temps d’épidémie – 6 avril 2020


« La révolution ne s’est pas contentée de faire tomber des têtes, depuis elles tournent » (Joseph de Maistre)
« Ils ne mouraient pas tous mais tous étaient frappés  (Les animaux malades de la peste, Jean de La Fontaine)

  •         Allah Akbar : assassinats islamistes à Roman-sur-Isère

Le virus venu de Chine communiste ne doit pas en cacher d’autres.
À l’islam « patte blanche » on ouvre chaque jour un peu plus de portes, sous le prétexte absurde que ne pas le faire entraînerait toujours plus la colère de l’islam « mains rouges ». Et c’est ainsi qu’à Romans-sur-Isère, le 4 avril, un « réfugié » soudanais a perpétré un véritable massacre au couteau faisant deux morts et sept blessés. Criant « Allah Akbar » !
L’islam jihâdiste fait ainsi chaque jour des dizaines de victimes dans le monde. Depuis la révolution iranienne de 1979, il en a massacré des centaines de milliers, de l’Iran des Pasdarans au Nigeria de Boko-Haram, des hécatombes d’Al-Qaïda à celles de l’État islamique.
Mais que viennent donc faire en France des musulmans « demandeurs d’asile » soudanais ? Comme si le Soudan n’était pas un État musulman, un pays dans lequel rien ne justifie que l’on s’en aille en exil en France ! Sinon l’imbécilité faussement charitable des « accueillants » français de tous poils pseudo-humanitaires. Il n’y a semble-t-il aucun vaccin contre cette imbécilité. L’immigrationnisme est ainsi objectivement criminel car il y a des demandeurs d’asile qui ne viennent que pour tuer.

  •         L’immense abomination totalitaire de la Chine communiste et ses collabos

Voici enfin quelques commentateurs médiatiques – pas beaucoup ! – s’interrogeant sur la responsabilité du régime du camarade Xi Jinping dans la propagation du coronavirus. Par là, peut-être, vont-ils réfléchir un peu à partir du fait que les médecins, que les jeunes journalistes qui ont, les premiers, révélé son apparition, ont été aussitôt mis hors d’état de nuire, selon les usages du grand empire rouge : emprisonnés ? liquidés ?
Peut-être encore, certains se demanderont-ils si, en effet, une enquête sur l’origine même du virus ne sera pas un jour souhaitable. Et même nécessaire comme nous l’avons déjà dit.
Mais ne va-t-il pas falloir désormais, comme nous ne cessons de le faire dans Reconquête, dans nos émissions sur Radio-Courtoisie, mettre encore plus en cause l’abomination des collabos du régime le plus gigantesquement totalitaire que le monde ait connu à ce jour après les chutes du nazisme et du communisme occidental ? Ces collabos ont été, bien sûr, les compagnons de route idéologiques du marxisme-léninisme maoïste. Mais il y a moralement bien plus abjects encore : les acteurs de la ténébreuse alliance entre le régime de la Chine communiste et le capitalisme mondialiste. Sans le moindre souci de la réalité de l’enfer du laogaï, le goulag chinois ; sans le moindre souci du génocide du Tibet ; sans le moindre opprobre contre un régime qui tient son peuple en esclavage comme on l’a vu jadis lors des massacres d’étudiants sur la place Tien An Men et dans cent autres villes du pays ; ces étudiants qui défilaient par centaines de milliers, applaudis, soutenus, par l’énorme majorité de la population.
Car, hors de la nomenklatura du parti et de l’armée « nationale populaire » et des tentaculaires structures policières, les Chinois n’aspiraient qu’à être libérés de l’hydre communiste.
Mais c’est avec ce parti, traînant derrière lui la continuité de plus de soixante millions de « liquidés » depuis la conquête maoïste, et d’une masse innombrable de victimes, que traitaient les dirigeants de nos grandes industries et ceux, grassement stipendiés, du lobby chinois.
Mais il y a eu pire, car ces derniers, matérialistes et cyniques, peuvent se réfugier sous l’invocation du traditionnel « business is business ». Et, au moins, n’ont-ils pas avancé en se couvrant des gigantesques abominations de la politique vaticane notamment proférées par un des grands acteurs de la politique du pape François, monseigneur Marcelo Sanchez Sorondo. Ce dernier, fait chancelier par François de deux académies pontificales, celle des Sciences et celle des Sciences sociales, ne déclarait-il pas parmi d’autres suffocantes assertions : « En ce moment, ceux qui mettent le mieux en pratique la doctrine sociale de l’Église, ce sont les Chinois » (8 mars 2018). Il ne parlait évidemment pas des Chinois des camps et des prisons sur lesquels, sous l’autorité du parti communiste, on prélève les organes vitaux à greffer sur les malades les plus dignes de soin de la nomenklatura ou sur les riches acheteurs des trafics de la marchandisation humaine mondialiste.
Comment oublier que c’est à ce pays qui, avec toute sa puissance de terrorisme d’État, vient de mentir sur le coronavirus, que le pape François a livré l’Église catholique de Chine, en ordonnant la fusion de l’Église officielle sous direction du parti et de l’Église clandestine restée fidèle à Rome quel qu’en soit le prix.
Depuis, la persécution contre les deux églises fusionnées n’a pourtant cessé de s’amplifier, la situation devenant « désespérée » comme l’a déclaré l’héroïque cardinal Joseph Zen, évêque émérite de Hong Kong, dénonçant explicitement la « trahison » du Vatican.
La responsabilité de François est en effet immense. La Chine communiste, son modèle de doctrine sociale de l’Église, non seulement écrase en effet le christianisme en Chine mais elle est responsable de la propagation du coronavirus.
À la mesure de cette responsabilité serait sa démission.

  • Euthanasie sans le dire ?

Le pharmacien Serge Rader, invité par André Bercoff sur Sud-Radio, a gravement mis en cause l’utilisation par certains médecins, dans les E.H.P.A.D., du médicament antiépileptique Rivotril, à des fins d’euthanasie. Le nombre de décès, actuellement, dans ces établissements, est en effet très supérieur à la normale : trois fois plus.
Bien sûr, du fait du coronavirus particulièrement meurtrier sur des personnes âgées et fragiles. Mais cela n’expliquerait pas tout. Selon Serge Rader et plusieurs médecins, le Rivotril serait utilisé comme médicament de soins « palliatifs », donc d’accompagnement à la mort, parce qu’il y a actuellement une carence dramatique de médicaments pour la continuation de la vie dans ces établissements.
Si ces faits étaient avérés, il va de soi qu’ils relèveraient d’une pratique d’euthanasie d’autant plus criminelle qu’infligée à des personnes pensant être soignées.
Sur cela aussi, comme sur les non-approvisionnements en médicaments, des enquêtes judiciaires devront être ouvertes. Ainsi que sur les raisons réelles des agissements contre la prescription de chloroquine sans attendre un état aggravé des malades.

  • God save the queen !

Sacrée Elisabeth II !
Je ne suis pas un admirateur inconditionnel de la monarchie anglicane qui a si mal commencé avec son épouvantable fondateur, assassin de deux de ses épouses et envoyant à la mort, dans les pires supplices, ses opposants catholiques et autres. Et triste chose aussi que son acceptation contemporaine, sans le moindre signe de résistance, de toute la subversion sociétale.
Mais, certes, convenons-en, la reine n’a pas de pouvoirs réels et ne peut guère agir, sauf exceptionnellement, selon ce qu’elle peut penser. Du moins, est-elle toujours comme l’incarnation émouvante d’une tradition au service d’une persistante idée d’unité britannique et, vaille que vaille, des quelques liens symboliques d’appartenance au Commonwealth.
Cette reine aura été admirable dans son rôle hautement symbolique tout au long d’un règne commencé de fait par sa présence dans Londres bombardée, avant même son couronnement en 1952. Elle est, à sa manière, un géant de l’histoire. En comparaison, nos derniers présidents de la République ne sont qu’insignifiants.