lundi 2 mars 2020

Des grands délires de la cérémonie des César aux joyeusetés congolaises en gare de Lyon


A la 45ème cérémonie de remise des César, ce samedi salle Pleyel, l’actrice noire Aïssa Maïga, invitée à remettre le césar du meilleur espoir féminin tint à révéler, qu’elle «  ne pouvait pas s’empêcher de compter le nombre de noirs dans la salle ». Le jugeant bien sûr insuffisant. Au mépris du fait tout de même que la France n’est pas fondamentalement une nation africaine subsaharienne. Et que dans un festival du film africain à Dakar ou à Bujumbura il n’y aurait sans doute pas dans la salle une grande proportion de blancs.

Dans le même registre, suivait le propos d’un technicien récompensé pour Le chant du loup » et appelant à la lutte contre la « domination masculine » et la « domination postcoloniale ».

Pour sa part, l’actrice Adèle Haenel, apparemment de race blanche, et même très blanche, et sans doute complexée de cette infortune originelle déplorait qu’il n’y ait pas de « gens racisés dans le cinéma ». Observons l’emploi galopant de ce néologisme lancé avec succès par l’islamo-gauchiste Houria Bouteldja la fondatrice du Parti des Indigènes de la République (PIR) prolongé par les initiatives diverses de « Nique la France » de son conseiller idéologique Saïd Bouamama ou de leur rappeur préféré, Saïdou.

Dame Haenel poursuivait en regrettant que les films soient « majoritairement des récits classiques, fondés sur une vision androcentrée (sic !) blanche, hétérosexuelle ».

Lors des procès de l’Agrif contre Houria Bouteldja pour ses propos racistes anti-blancs, nous mettions en évidence son procédé d’amalgame dans l’ensemble des « non blancs », des arabes, des musulmans, des noirs.

Comme si tous les noirs étaient musulmans et comme si tous les arabes étaient musulmans… Mais la camarade Bouteldja, elle, ardemment islamiste n’est guère féministe.

En revanche, Adèle Haenel rejoignait jadis les propos de l’ancienne dirigeante d’Areva, Anne Lauvergeon, également poursuivie par l’Agrif.

Celle-ci s’était illustrée en prônant que chaque fois que cela serait possible l’entreprise ne recrute pas des « mâles blancs ».

Pauvre « mâle blanc » objet de la commune aversion des idéologues fous d’un pseudo antiracisme qui n’est qu’un racisme en sens contraire !

Et au fait, quid des femmes blanches ? Et quid des non blancs qui se sentent français ? Et quid des homosexuels qui n’aspirent pas à constituer une minorité dominatrice ? Et à écouter les hystériques de la diversité, comment, les « non-blancs » s’ils sont si discriminés en France, peuvent-ils être toujours plus nombreux à vouloir s’y installer ?

Or ne voilà t-il pas que par exemple parmi les très nombreux ressortissants congolais qui l’habitent, plusieurs centaines de nervis de partis opposés ont cru bon d’aller s’ affronter ce samedi, gare de Lyon, et d’y provoquer un énorme incendie.

Mieux que du cinéma, une authentique guerre africaine !

Mais sans doute, mesdames Aïssa Maïga et Adèle Haenel auraient-elles pu au même moment en accueillir un grand nombre salle Pleyel.

Que n’ont-elles pensé à s’occuper un peu des invitations ? Gageons que le ministre de la culture, Franck Riester n’auraient pas été fermé à leurs sollicitations.