A la 45ème
cérémonie de remise des César, ce samedi salle Pleyel, l’actrice noire Aïssa
Maïga, invitée à remettre le césar du meilleur espoir féminin tint à révéler, qu’elle
« ne pouvait pas s’empêcher de compter le nombre de noirs dans la
salle ». Le jugeant bien sûr insuffisant. Au mépris du fait tout de même
que la France n’est pas fondamentalement une nation africaine subsaharienne. Et
que dans un festival du film africain à Dakar ou à Bujumbura il n’y aurait sans
doute pas dans la salle une grande proportion de blancs.
Dans le même registre,
suivait le propos d’un technicien récompensé pour Le chant du loup » et appelant à la lutte contre la « domination masculine » et la
« domination postcoloniale ».
Pour sa part, l’actrice
Adèle Haenel, apparemment de race blanche, et même très blanche, et sans doute
complexée de cette infortune originelle déplorait qu’il n’y ait pas de
« gens racisés dans le
cinéma ». Observons l’emploi galopant de ce néologisme lancé avec succès
par l’islamo-gauchiste Houria Bouteldja la fondatrice du Parti des Indigènes de
la République (PIR) prolongé par les initiatives diverses de « Nique la
France » de son conseiller idéologique Saïd Bouamama ou de leur rappeur
préféré, Saïdou.
Dame Haenel poursuivait
en regrettant que les films soient « majoritairement des récits
classiques, fondés sur une vision androcentrée (sic !) blanche,
hétérosexuelle ».
Lors des procès de
l’Agrif contre Houria Bouteldja pour ses propos racistes anti-blancs, nous
mettions en évidence son procédé d’amalgame dans l’ensemble des « non
blancs », des arabes, des musulmans, des noirs.
Comme si tous les noirs
étaient musulmans et comme si tous les arabes étaient musulmans… Mais la camarade
Bouteldja, elle, ardemment islamiste n’est guère féministe.
En revanche, Adèle
Haenel rejoignait jadis les propos de l’ancienne dirigeante d’Areva, Anne
Lauvergeon, également poursuivie par l’Agrif.
Celle-ci s’était illustrée
en prônant que chaque fois que cela serait possible l’entreprise ne recrute pas
des « mâles blancs ».
Pauvre « mâle
blanc » objet de la commune aversion des idéologues fous d’un pseudo
antiracisme qui n’est qu’un racisme en sens contraire !
Et au fait, quid des
femmes blanches ? Et quid des non blancs qui se sentent français ? Et quid des homosexuels
qui n’aspirent pas à constituer une minorité dominatrice ? Et à écouter les
hystériques de la diversité, comment, les « non-blancs » s’ils sont
si discriminés en France, peuvent-ils être toujours plus nombreux à vouloir s’y
installer ?
Or ne voilà t-il pas que
par exemple parmi les très nombreux ressortissants congolais qui l’habitent,
plusieurs centaines de nervis de partis opposés ont cru bon d’aller s’ affronter
ce samedi, gare de Lyon, et d’y provoquer un énorme incendie.
Mieux que du cinéma, une
authentique guerre africaine !
Mais sans doute,
mesdames Aïssa Maïga et Adèle Haenel auraient-elles pu au même moment en
accueillir un grand nombre salle Pleyel.
Que n’ont-elles pensé à
s’occuper un peu des invitations ? Gageons que le ministre de la culture,
Franck Riester n’auraient pas été fermé à leurs sollicitations.