Voici donc que Laurence
Bloch, la présidente de France-Inter, radio financée avec l’argent de tous, se
pâme aujourd’hui de sa finaude trouvaille : elle a adressé des excuses à
la gent LGBT et non aux chrétiens pour la profération sur la radio de
l’ignominie « Jésus est pédé » par le misérable Fromet.

Au nom de la défense du
grand principe intouchable de la « liberté d’expression » et d’une
sublime fidélité véritablement d’ordre religieux à la grandeur sacrée de
« l’esprit Charlie ». L’indécence de pareille argumentation, au
demeurant d’un pitoyable conformisme, est à faire « hennir des
constellations », comme aurait dit le grand Léon Bloy.
Comme si le prix du sang
de leurs collègues assassinés par les islamistes frères Kouachi octroyait à
leurs continuateurs et à ceux du même acabit dans leur dérision et l’abjection
scatologique d’être dans un statut d’intouchables de la République.
Nous, à l’AGRIF, nous ne
nous prosternons pas à l’invocation du
soi-disant « esprit Charlie ». Nous, défendons fermement la liberté
d’expression et notamment celle de pouvoir dire que Charlie ne mérite aucun
respect.
Aucun respect quand on s’y
efforce de défigurer le visage du Christ dans un sommet d’obscénités
blasphématoires. Nous disons, nous, que Charlie, subventionné aussi, n’est
qu’une misérable, longue et terne continuité d’expression scatologique, de
maladive et dégoulinante obsession d’excrémentation. Rien à voir avec la géniale santé paillarde de
notre bon François Rabelais. Ce dernier n’eut certainement pas trouvé des
qualités torcheculatives à ce torchon défécatoire.
Que d’orgueilleuses
privilégiées du système médiatique en fassent leur religion, c’est une chose.