jeudi 16 janvier 2020

Nous, en totale et joyeuse liberté d’expression, nous lançons le mot de Cambronne à tous les baveux du dogme du dit « esprit Charlie » !


Voici donc que Laurence Bloch, la présidente de France-Inter, radio financée avec l’argent de tous, se pâme aujourd’hui de sa finaude trouvaille : elle a adressé des excuses à la gent LGBT et non aux chrétiens pour la profération sur la radio de l’ignominie « Jésus est pédé » par le misérable Fromet.

Mais pour mieux se couvrir, elle a pitoyablement suivi l’argument de la donzelle Charline Vanhoenacker, chouchou du bobarland radiophonique se portant avec  des accents grotesques d’autohéroïsation au secours de son petit camarade Frédéric Fromet.

Au nom de la défense du grand principe intouchable de la « liberté d’expression » et d’une sublime fidélité véritablement d’ordre religieux à la grandeur sacrée de « l’esprit Charlie ». L’indécence de pareille argumentation, au demeurant d’un pitoyable conformisme, est à faire « hennir des constellations », comme aurait dit le grand Léon Bloy.

Comme si le prix du sang de leurs collègues assassinés par les islamistes frères Kouachi octroyait à leurs continuateurs et à ceux du même acabit dans leur dérision et l’abjection scatologique d’être dans un statut d’intouchables de la République. 

Nous, à l’AGRIF, nous ne nous prosternons pas  à l’invocation du soi-disant « esprit Charlie ». Nous, défendons fermement la liberté d’expression et notamment celle de pouvoir dire que Charlie ne mérite aucun respect. 

Aucun respect quand on s’y efforce de défigurer le visage du Christ dans un sommet d’obscénités blasphématoires. Nous disons, nous, que Charlie, subventionné aussi, n’est qu’une misérable, longue et terne continuité d’expression scatologique, de maladive et dégoulinante obsession d’excrémentation.  Rien à voir avec la géniale santé paillarde de notre bon François Rabelais. Ce dernier n’eut certainement pas trouvé des qualités torcheculatives à ce torchon défécatoire. 

Que d’orgueilleuses privilégiées du système médiatique en fassent leur religion, c’est une chose.
Nous, à l’AGRIF, nous sommes les athées de cette religion-là, nous sommes les anticléricaux de ce clergé-là !