Dans un livre qui sort
ce 11 septembre (date sciemment choisie) l’ignoble personnage que l’on continue
dans les médias à désigner comme un « islamologue » (sic !) use d’une
grossière rouerie dialectique pour mettre sur le compte du colonialisme, de la
xénophobie et du racisme les accusations de multiples viols dont il aura à
répondre. « Té pardi ! »
Mais « l’islamologue »
sait bien qu’avec la peur générale installée chez la plupart de nos concitoyens
d’être taxés « d’islamophobes » (tout comme « d’homophobie »),
il aura de bonnes chances de s’en sortir pas trop mal. Car il n’est pas sûr que
tous les magistrats soient indifférents à ce genre d’accusation.
Alors pour ne pas passer
pour de méchants islamo-ramadanophobes, le mieux pour certains ne sera-t-il pas
de rendre des jugements ramadanophiles ?
Nous nous souvenons à
propos de ce personnage de ce qu’il fut, il y a quelques années, invité par les
lèche-babouches de l’Institut catholique de Toulouse pour donner une longue
série de conférences dans le cadre du « dialogue inter-religieux ». Cela
donna lieu à de véritables scènes d’occupation islamique de l’amphi et des
cours de l’Institut.
Car c’est bien
évidemment ainsi que, pour Ramadan et ses admirateurs mahométans, doit se
dérouler pareil « dialogue ».
Rien ne dit pourtant que
tous les magistrats ayant à le juger, et notamment les plus laïques, s’aligneront
sur la frilosité de ces lèche-babouches.
Une remarque enfin :
Tariq Ramadan, qui n’est pas un imbécile et qui sait jusqu’où il peut aller
trop loin, n’ose pas invoquer le modèle du prophète.
Or celui-ci ne se
contentait pas des neuf épouses qu’Allah lui avait exceptionnellement accordées
(c’est pas plus de quatre pour le commun des « fidèles »). Il connut
une multitude de « concubines » prises comme un butin de guerre.
Et de même, le gars
Ramadan ne considère-t-il pas, en toute légitimité islamique, comme de
pareilles concubines toutes les femmes des infidèles dont il peut momentanément
s’emparer. Mais cela, il ne saurait le dire publiquement.
Comme l’aurait écrit le
génial Alexandre Vialatte : « C’est
ainsi qu’Allah est grand ! ».