mercredi 11 septembre 2019

Tariq Ramadan : la haine de la France pour se défendre d’être un violeur multirécidiviste


Dans un livre qui sort ce 11 septembre (date sciemment choisie) l’ignoble personnage que l’on continue dans les médias à désigner comme un « islamologue » (sic !) use d’une grossière rouerie dialectique pour mettre sur le compte du colonialisme, de la xénophobie et du racisme les accusations de multiples viols dont il aura à répondre. « Té pardi ! »

Mais « l’islamologue » sait bien qu’avec la peur générale installée chez la plupart de nos concitoyens d’être taxés « d’islamophobes » (tout comme « d’homophobie »), il aura de bonnes chances de s’en sortir pas trop mal. Car il n’est pas sûr que tous les magistrats soient indifférents à ce genre d’accusation.

Alors pour ne pas passer pour de méchants islamo-ramadanophobes, le mieux pour certains ne sera-t-il pas de rendre des jugements ramadanophiles ?

Nous nous souvenons à propos de ce personnage de ce qu’il fut, il y a quelques années, invité par les lèche-babouches de l’Institut catholique de Toulouse pour donner une longue série de conférences dans le cadre du « dialogue inter-religieux ». Cela donna lieu à de véritables scènes d’occupation islamique de l’amphi et des cours de l’Institut.

Car c’est bien évidemment ainsi que, pour Ramadan et ses admirateurs mahométans, doit se dérouler pareil « dialogue ».

Rien ne dit pourtant que tous les magistrats ayant à le juger, et notamment les plus laïques, s’aligneront sur la frilosité de ces lèche-babouches.

Une remarque enfin : Tariq Ramadan, qui n’est pas un imbécile et qui sait jusqu’où il peut aller trop loin, n’ose pas invoquer le modèle du prophète.

Or celui-ci ne se contentait pas des neuf épouses qu’Allah lui avait exceptionnellement accordées (c’est pas plus de quatre pour le commun des « fidèles »). Il connut une multitude de « concubines » prises comme un butin de guerre.

Et de même, le gars Ramadan ne considère-t-il pas, en toute légitimité islamique, comme de pareilles concubines toutes les femmes des infidèles dont il peut momentanément s’emparer. Mais cela, il ne saurait le dire publiquement.

Comme l’aurait écrit le génial Alexandre Vialatte : « C’est ainsi qu’Allah est grand ! ».