lundi 12 août 2019

À dame Laure Daussy, espionne "pieds-nickelés" de « Charlie »

À le lire, c’est en raison de la présence de Véronique Levy et de Mgr Rey à notre université d’été, que l’immonde périodique de scatologie blasphématoire « Charlie-Hebdo » nous avait envoyé une paire de ses collaborateurs pour nous espionner. Ils se sont avéré un duo de pieds-nickelés de l’information comme les a si justement qualifiés Jeanne Smits dans « Minute » du 7 août. En effet aussitôt repérés et quelques heures plus tard identifiés, ils nous ont bien plus amusé que gêné. La femme était Laure Daussy, par ailleurs militante fanatique de la cause LGBT et de la lutte antiraciste et antihomophobe. L’homme était le médiocre dessinateur Foolz. En fin de page de son article Jeanne Smits révélait ceci : « Mlle Daussy fait partie de l’association finement intitulée « Fake off ». C’est la première association de journalistes issus essentiellement du monde de la télévision à s’engager contre la désinformation de masse chez les jeunes, rien de moins. Ils ont décidé d’unir leurs forces et d’agir collectivement contre la désinformation dans les médias et sur les réseaux sociaux. Depuis 2017 ils interviennent auprès d’élèves de collèges et de lycées à la demande des professeurs, documentalistes et directeurs d’établissement. Et ils se déguisent en quoi pour faire ça ? » Jeanne Smits n’avait évidemment pas pu parcourir ce qui a été écrit par Laure Daussy. Nous y répondons ici.


Madame,


J’ai lu, amusé, votre pensum sans doute bien défrayé dans le périodique qui vous emploie.


Je dois d’abord vous transmettre les remerciements des militants de Chrétienté-Solidarité-Jeunesse. Durant plus d’une journée, ils se sont bien divertis en effet sur votre cas et celui de votre accompagnateur-chauffeur-dessinateur dès votre arrivée à la Castille.


D’emblée votre comportement leur parut rigolo, le vôtre surtout, façon bonne petite bourgeoise catho bien sapée avec col « Claudine », votre chaîne et croix en or autour de votre coup gracile et ne quittant pas votre joli petit sac-à-main bizarrement encore, toujours entrouvert. Vous tranchiez en effet sur les participants, la plupart en shorts, sandales et tee-shirts comme il en est dans nos universités d’été où les moments d’étude n’excluent pas ceux du sport et de la plage. Parmi eux quelques joyeux anars de droite aux réflexions un brin rigolardes : « t’as vu celle-là, elle est sapée comme une « bourge ». Elle doit s’être trompée de congrès ».


En fin de dimanche après-midi, l’un d’eux vint m’alerter sur le fait qu’ils vous avaient observée alors que votre délicate main de Mata Hari en herbe plongeait dans l’ouverture de votre sac-à-main. Vous en aviez dextrement extirpé votre « mobile » pour prendre quelques photos. Virginie ajouta qu’à la sortie de la messe elle vous avait vu aussi photographier plus ouvertement. Ça ne l’avait pas intriguée sur le moment, d’autres personnes faisant de même pour fixer quelques bonnes retrouvailles.


Cela confirmait nos doutes : vous et votre « accompagnateur » étiez évidemment en mission d’infiltration. Vous expulser aussitôt n’aurait servi à rien. Vous aviez photographié comme d’ailleurs tout le monde pouvait le faire sur le parvis de l’église ou dans ce parc accessible à tous. Nous décidâmes pour cette fin de journée d’une stratégie d’amabilité et d’observation amusée. D’autant qu’il n’y a rien à dissimuler de ce que nous faisons et disons dans nos universités.


Le plus suave possible, je conversais alors avec vous deux, vous posant quelques anodines questions, rigolant intérieurement de vos mensonges embrouillés, sans aucune illusion sur la véracité de l’identité que vous aviez donnée à notre secrétariat. Je me marrais quand vous m’évoquiez votre job dans « l’événementiel » sans pouvoir me donner le nom de votre boite.


Le lendemain, je mis un peu plus de feu sous le grill. J’abordais quelques anecdotes de mes relations avec la presse. Et subitement : « mais au fait, pour quel journal travaillez-vous ? » Quand je citai le nom de l’infâme périodique pestilentiel auquel vous collaborez en tout mal tout déshonneur, je vous vis blêmir. Mais il nous fallait encore vous identifier. Nos journalistes, admirables utilisateurs d’internet, allaient parvenir à partir de votre photo à remonter à votre nom, à votre « bio », et à ceux de votre chauffeur-dessinateur.


Nous vous avions tout de suite repérés certes, pieds-nickelés de l’infiltration, aussi discrets que les Dupont et Dupond de Tintin. Mais désormais nous savions qui vous étiez et le soir même par le communiqué publié sur Le Salon Beige nous fîmes savoir comment deux journaleux du périodique d’excrémentation hebdomadaire avaient été repérés, effectivement la main dans le sac, dans une misérable tentative d’infiltration, immédiatement décelée avant identification.


Misérables voyous de presse en effet, déshonorant, en bas espionnage sans risque, parmi des militants à visages découverts, une profession qui ne manque déjà pas de malandrins. Mais voyez-vous, Laure Daussy, ne considérant guère votre acolyte, le si médiocre « dessinateur » Foolz, c’est votre cas qui m’intéresse surtout.


Jeanne Smits dans Minute a excellemment goguenardisé sur vos bourdes successives, vos erreurs d’appréciation : « Croyait-elle atterrir dans un rassemblement de vieilles chouettes transportées depuis la banlieue Ouest de Paris vers une maison religieuse du Sud pour y pleurer sur les malheurs du monde, à heures fixes, en chemisiers blancs et jupes plissées ? » Fringuée « BCBG » et surtout gênée comme vous l’étiez, votre présence et celui que nous décidâmes être votre chauffeur, vous suscitiez les questions et les supputations diverses. Vous ressembliez en effet aux si futés Dupont et Dupond dans Tintin s’attifant en fustanelles à Athènes, chapeau l’espionne ! Dans le plus nul des services de renseignement dame Daussy, après pareil échec dans une mission vite éventée, on vous virerait aussitôt, sans indemnité, vous et votre acolyte pour bévues accumulées. Au KGB, on vous aurait liquidée, au FSB de Poutine on vous enverrait dans quelque maison d’accueil de Ramzam Kadirov en Tchétchénie.


Voyez-vous j’avais cru à certains moments devant vos blêmissements face à mes questions trouver peut-être l’expression d’un peu de gêne à faire un boulot si peu ragoutant. Me venait l’espoir pour vous, oui pour vous, petite tchékiste ratée du nouveau totalitarisme LGBT, que remontait peut-être en vous, ancienne étudiante à la « catho » de l’Ouest, qu’il y a des choses qui ne se font pas. Mais me revient aussi que, lorsque vous enleviez vos montures, j’éprouvais à la vue de votre regard dur, méchant, impitoyable, la perception de cette haine fétide qui dégouline de Charlie envers les catholiques et surtout contre le Christ et la Vierge Marie. Oui, j’éprouvais à votre égard comme un sentiment mélangé de répulsion, d’effroi mais aussi de pitié, de peur pour vous. Un peu comme celui qu’a si remarquablement exprimé Véronique Lévy priant pour la misérable Femen après son suicide, ou pour l’effrayante jihâdiste au plus haut sommet de la haine.


Vous vous êtes encore trompée, dame Daussy, en écrivant que je ne m’attendais pas à ce qu’un infiltré possible de Charlie soit une femme. C’est vrai que, catholique et de surcroît méridional, aimant comme Frédéric Mistral les troubadours des cours d’amour, j’ai une très haute idée de la femme. Mais je sais fort bien aussi que des femmes également peuvent perpétrer les pires abominations : des grandes empoisonneuses aux gardiennes de goulag et aux « chiennes » de Buchenwald, aux tortionnaires islamistes des femmes yézidies. La preuve en est encore dans l’atroce excrémentation scato-blasphématoire de certaines dessinatrices de Charlie. Il est vrai cependant que j’ai toujours quelque difficulté à constater qu’une jeune femme que la nature n’a pas disgraciée peut collaborer à un périodique où l’on s’efforce d’aller toujours plus loin dans la salissure de la personne humaine, toujours plus loin dans les plus ignobles compositions obscènes sur le visage même du Christ.


Certes, Laure Daussy, vous pouvez ne plus croire que le Christ est Dieu, Fils de Dieu. Mais nul ne peut sérieusement nier qu’il a existé, qu’il fut une personne humaine indiciblement torturée, soumise aux pires avanies. Et quid alors du respect de la personne humaine ? Quid des droits de l’homme dont certains osent se targuer à Charlie ? Le périodique auquel vous collaborez s’efforce à sa manière de se repaître et de continuer cette torture, de faire pire, toujours pire, toujours plus loin dans une frénétique et fanatique recherche d’abjection dans les plus obscènes défigurations. Oh, je ne prendrai pas des accents de mes chers Léon Bloy ou Bernanos pour vous conjurer de vous sortir de cette putride collaboration. Il est toujours temps. Mais pour vous ce sera de plus en plus difficile ! Liberté, répondrez-vous, de dérision, d’exécration, d’abomination ! Pourtant, Laure Daussy, on ne se moque pas impunément de Dieu. Je devine vos sarcasmes à lire ces mots. Tant pis pour vous ! Mais je vous plains. Je me garde de vous dire : que le Diable vous emporte ! Et qu’il ne vous emporte pas, c’est tout ce que je vous souhaite. Mais cela dépend de vous. Réfléchissez.


Que vous dire maintenant sur vos trois pages dans Charlie ?


Comment ne va-t-on pas vous en virer pour n’avoir strictement rien ramené de vos quelques heures « d’infiltration » ? En revanche c’est sur vous que l’on en apprend !


- On apprend vos angoisses liturgiques : vous exécrez obsessionnellement « la messe en latin », vous revenez sur la question à maintes reprises. Écrivant d’ailleurs des bourdes témoignant de votre grande ignorance bien que vous ayez jadis étudié à « la catho » de l’Ouest.



Mais quelle est donc la motivation de votre latinophobie ? Peut-être vous, aujourd’hui à Charlie, avez-vous été jadis, encore catholique, une ardente pasionaria de la messe entièrement en langue vernaculaire ? Peut-être avez-vous d’exécrables souvenirs de vos professeurs de latin ? Mauvaises notes en version latine, pire encore en thème latin ? Moi, voyez-vous, j’aime la liturgie catholique latine selon le rite de Saint Pie V mais j’apprécie également toutes les messes catholiques, et à défaut orthodoxes : en grec, en slavon, en syriaque, en syro-malabar, en copte, en arménien, en mandarin, en vietnamien… et, s’il le faut, en français.



- Marrante votre description du public « tradi ». C’est l’hôpital qui se moque de la charité ! Mais d’évidence, vous avez une difficulté avec cela ? Peut-être un problème d’identité perdue ? Au fond, ne seriez-vous pas une catho « retournée », une catho « de la haine de soi » selon l’expression à l’égard de certains juifs de madame Roudinesco, la gardienne du temple de la psychanalyse ? Oui, une catho retournée, une catho invertie remâchant une inextinguible rancœur contre la religion de sa jeunesse. N’ayant pas trouvé comme un Michel Onfray l’équilibre et la paix dans un tranquille athéisme positiviste et dans la défense des valeurs de la romanité bien loin de la barbarie coprophagique de l’immonde hebdo auquel vous collaborez financé par les abonnements des collectivités publiques.

- Bien sûr, il fallait de la délation dans votre papier. En bonne petite tchékiste du néo-totalitarisme, vous l’exercez envers Guillaume de Thieulloy selon vous coupable d’avoir « appelé à l’illégalité » (sic) en approuvant les parents qui retirent leurs enfants des écoles « quand l’enseignement ne leur plait pas ». Diable, à vous lire, on ne plaisante pas avec la stricte observance laïcarde à Charlie. Dame Daussy, vous ignorez que c’est tout de même encore un droit pour les parents de choisir l’école de leurs enfants ! Mais c’est sans doute une chose que vous supprimeriez volontiers dans le droit fil de votre haine anti-catholique et de votre engagement pour le meilleur des mondes du néo-totalitarisme LGBT (OGM).

Certains, qui n’avaient pas surpris vos regards, me disaient que vous n’aviez tout de même pas une tête de pétroleuse révolutionnaire. Erreur. Comme si, jacobine, nazie ou communiste, les révolutions avaient manqué de charmantes petites bourgeoises féroces et fanatiques vocifératrices, appelant à remplir les charrettes, les camps et les goulags. J’avais observé  votre moue méprisante lorsque dans ma causerie d’introduction à nos travaux j’avais cité la lumineuse « nouvelle préface » d’Aldous Huxley à son livre de géniale anticipation. Citons ici cette phrase : « La révolution véritablement révolutionnaire se réalisera, non pas dans le monde extérieur, mais dans l’âme et la chair des êtres humains ». Il y développait ensuite que Robespierre et Babeuf n’avaient somme toute œuvré que pour les premiers degrés, les plus superficiels, de la révolution : dans l’ordre de la politique et de l’économique. Mais le degré supérieur était celui du marquis de Sade. Quoique fou, développe Huxley, ce dernier a anticipé la rationalité de « la révolution véritablement révolutionnaire » : « celle de la révolution des hommes, des femmes et des enfants individuels dont le corps allait devenir désormais la propriété commune sexuelle de tous et dont l’esprit devait être purgé de toutes les connaissances naturelles, de toutes les inhibitions laborieusement acquises de la civilisation traditionnelle ». Superbe pré-vision de la révolte sociétale dont vous êtes, sous vos apparences d’impeccabilité bourgeoise, une fanatique propagatrice, allant dans les écoles de la République détournée pour y bourrer les cranes des élèves de l’idéologie du néo-totalitarisme LGBT-PMA-GPA…

Voyez-vous, dame Daussy, vous nous avez rendu un grand service en vous pointant chez nous, si mal infiltrée et si intéressante non seulement à observer mais à étudier plus avant comme un cas d’espèce. Bel exemple d’ailleurs que votre infiltration ratée, des retournements hétérotéliques des stratégies humaines. Et une fois de plus, grâce à vous on peut vérifier que « même le Diable porte pierre ».

C’est ce qui s’est produit avec le plaisant retournement à notre profit de votre mission d’espionne. Et surtout avec la révélation que vous êtes, somme toute, un cas intéressant de l’agent à l’intersection des deux aspects de la révolution contemporaine du « meilleur des mondes » si justement prophétisé par Huxley.

- Avec Charlie, vous êtes pleinement dans le registre satanique de « la révolution pleinement révolutionnaire » du marquis de Sade. Sans nul doute le diabolique marquis aurait-il été comme vous un chaud admirateur de Charlie frétillant devant les compositions obscéno-blasphématoires. Dieu sait ce que vous auriez pu faire ensemble s’il avait vécu à notre époque !

- Avec votre militantisme pro LGBT, IVG, PMA, GPA, vous êtes dans le registre du nouvel ordre sociétal. Je suis d’ailleurs prêt à parier qu’on vous décernera un jour la légion d’honneur pour votre prosélytisme révolutionnaire… et bien sûr pour votre prise de risque si héroïque, deux jours durant, en ces caniculaires journées du mois d’août parmi les effrayants partisans de la messe en latin, de l’illégalité scolaire et de surcroit enthousiastes de Véronique Levy. « L’illuminée de Jésus » titrez-vous, « leur star à eux », écrivez-vous, sur cette dernière. Mais sur elle, camarade tchékiste Daussy, vous concluez par une très révélatrice proposition de « suivi psychologique ». Une fois encore, votre si médiocre prose présente néanmoins l’utilité de vous faire connaître : « le suivi psychologique » à motivation de redressement idéologique c’était en effet ce que les meilleurs des mondes soviétique proposait aux intellectuels dissidents les envoyant dans les hôpitaux psychiatriques de sinistre mémoire. Sur ce point encore, vraiment, vous vous dévoilez, camarade tchékiste Daussy, bien maladroite apprentie espionne certes mais dont le regard si dur que j’ai évoqué aurait facilité à la Loubianka la décision de vous recruter dans « l’assistance psychiatrique » spéciale pour les dissidents politiques et autres « illuminés » religieux tels que notre admirable Véronique Levy. Me revient aussi que la « Securitate » roumaine avait mis sur pied le laboratoire de déshumanisation pour les religieux de la prison de Pittesti. Une des spécialités en était la dérision et la déconstruction « façon Charlie » du Christ et des chrétiens dans la combinaison de la torture et des plus hallucinantes pratiques d’avilissement scatologique et coprophagique pour parvenir à la plus totale déshumanisation des détenus Il y en eut qui résistèrent dans leur foi.

Voyez-vous, dame Daussy, tous les totalitarismes, le jacobin, le jeune-turc, le communiste, le nazi ont engendré leurs monstruosités répressives et génocidaires. Le néo-totalitarisme du « meilleur des mondes » du traficotage IVG-LGBT-PMA-GPA-euthanasie de l’être humain les a déjà tous dépassés par le nombre incalculable des victimes et par ses méthodes de conditionnement mais aussi de terreur fussent-elles plus dissimulées. Et vous en êtes, hélas pour vous, un agent déterminé.

Je ne reviendrai pas longuement dans le commentaire de votre prose. Votre dérision, vos débiles amalgames se retournent contre vous. Ainsi, non seulement vous n’avez été en quelques heures parmi nous qu’une malheureuse infiltrée, aussitôt repérée avant que d’être identifiée, mais vous n’avez strictement rien trouvé à mettre sous la dent des requins de Charlie. Pour la seule et bonne raison qu’il n’y avait rien d’autre à découvrir chez nous, que ce que nous défendons et proposons tout au long de l’année avec l’Agrif, avec le Centre Charlier, avec Chrétienté-Solidarité, avec Le Salon Beige. Trouver les mots qui pourraient nous perdre, même sans lésiner sur la malhonnêteté, ce n’est pas toujours facile tant que la pensée unique du néo-totalitarisme ne sera pas arrivée, comme en Chine, à la quasi-perfection totalitaire. Si vous me l’aviez demandé (mais vous ne pouviez pas veillant, pauvre de vous, à ne pas être démasquée) ce qui avait été exprimé de plus important dans le début de notre université, je vous aurais répété ce que j’avais dit en ouverture, sans que, fouraillant dans votre sac-à-main, vous y prêtiez quelque attention : Nous ne constituons pas ici le groupe le plus nombreux de l’opposition du pays libre français au totalitarisme du meilleur des mondes, encore moins le plus extrémiste, rien ne relevant de l’extrémisme dans ce que nous défendons. Mais sans doute avons-nous été et sommes-nous encore le centre d’initiatives le plus déterminé, le plus cohérent de la résistance française, chrétienne et tout simplement humaine au génocide français, à la barbarie moderne, au déconstructivisme multiforme du révolutionnarisme sociétal. La radicalité que nous admirons n’est pas celle des assassins jihâdistes ni celle des extrémistes de toutes idéologies, c’est la radicalité dans la charité évangélique dont ont témoigné et témoignent les saints au fil des siècles.

Nous avons souvent été avec Chrétienté-Solidarité à la pointe des combats contre le communisme et puis contre l’islam de la charia et du jihâd. Et nous savons bien, hélas, que ni le communisme ni l’islamisme ne sont morts.

Avec l’Agrif nous avons été et nous sommes toujours à la pointe des combats contre les racismes antifrançais, antichrétiens, antihumains mais aussi les plus actifs dans analyse du soi-disant antiracisme qui est « un formidable racisme en sens contraire ».

Voilà pourquoi, dame Daussy, maintenant que nous vous  connaissons un peu, vous êtes désormais comme un nouveau cas d’espèce dans notre laboratoire d’étude du racisme antichrétien et antihumain. Vous êtes certes dans le même camp de la haine contre le Christ que les misérables viragos Femen, elles au moins, à visages dévoilés (et le reste). Mais dans un registre à vrai dire plus pervers, vous êtes une propagandiste en milieu scolaire du néo-totalitarisme du meilleur des mondes ; et vous êtes de surcroît, une collabo de la feuille la plus scatologiquement et inhumainement haineuse du visage du Christ. Par quel égarement en êtes-vous venue là ? On ne peut vous haïr, on vous plaint. D’autres, meilleurs que moi, prieront pour vous.