Le journaliste Amaury
Brelet a, sur le site de « Valeurs Actuelles » de ce 3 juillet,
publié un article justement titré « L’étrange
compromission de l’État avec le cofondateur des indigènes de la République ».
Les adhérents de l’AGRIF,
tous nos lecteurs et auditeurs sur Radio-Courtoisie et Radio-Libertés savent
nos années de combat judiciaire contre les provocations de haine antifrançaise
et de racisme antiblanc de l’islamo-gauchiste Houria Bouteldja, de son principal
comparse le « sociologue » Saïd Bouamama et de l’interprète
artistique à leur niveau, le rappeur Saïdou, auteur de l’impérissable
éructation « Nique la France » dont la disquette accompagnait le
bouquin du même titre.
Ce bouquin, c’est la
publication sur pleine page de plusieurs dizaines de photos d’individus des
deux sexes faisant un « doigt d’honneur » en très suggestives illustrations
du titre et, sur un certain nombre de pages encore, en regard des photos, les
textes de 12 articles de Bouamama sur la même thématique niquelarde.
À noter, la photo au
centre du bouquin d’un quidam vêtu d’un tee-shirt à l’inscription révélatrice :
« Solidarité avec les militants d’Action
Directe ». C’est-à-dire avec les assassins terroristes alors encore
emprisonnés au moment de la publication (il n’y en a plus aujourd’hui).
En bon manieurs d’une
dialectique d’inversion des postures, la souchienne algérienne Bouteldja et le
souchien Bouamama n’ont cessé de dissimuler leur racisme sous le blanc manteau
de l’antiracisme et de la lutte contre l’islamophobie.
Et plus c’est grossier,
plus c’est cousu de fil rouge-vert, plus ça prend parmi les bobobos (1) et
autres idiots utiles arborant, lors des procès que nous avons intentés à Nique
la France, des keffiehs palestiniens et autres foulards algériens. Et hélas,
Nique la France a progressé aussi avec l’évidente bienveillance de magistrats
des différentes juridictions. Et maintenant avec celle de l’État !
En effet le « sociologue »
Bouamama bénéficie désormais de toute la considération du Comité interministériel de prévention et de la délinquance (CIPDR) qui
en fait un membre de son « comité scientifique » !
Or, on croit rêver,
halluciner, cauchemarder, car, comme le rapporte Amaury Brelet, c’est sous la direction de Bouamama que s’est
déroulé, avec toutes les approbations ministérielles, ces deux derniers jours, au
TGI de Bobigny, un « colloque international » intitulé « Mécaniques
de l’extrémisme violent » organisé par l’association Sauvegarde de Seine-Saint-Denis présentée comme une association de
protection de l’enfance qui « assure une mission de service public
habilitée par le ministère de la justice et le Conseil départemental et
financée par ce dernier à… 85 % !
Cette association « prend en charge les personnes signalées
radicalisées ou mises en examen en Seine-Saint-Denis voire condamnées pour des
faits de terrorisme ».
Oui, ici, on atteint des
sommets.
On confie donc à l’algérien
islamo-gauchiste radical Bouamama le soin de diriger des colloques sur la
déradicalisation ! Nul doute que ce suave Bouamama radicalo-islamiste va
témoigner de beaucoup de compréhension pour ces radicalisés. Et Bouteldja en
est bien satisfaite.
Pour Lénine, même en enfer,
il y a là de quoi se tordre de rire.
Avec cette belle
complicité grandissante des collabos et des idiots utiles, la révolution
islamo-gauchiste n’est plus une vue de l’esprit.
(1) Bourgeois-bohêmes-bolcheviques