vendredi 5 juillet 2019

« Nique la France » désormais avec la complicité de l’État !


Le journaliste Amaury Brelet a, sur le site de « Valeurs Actuelles » de ce 3 juillet, publié un article justement titré « L’étrange compromission de l’État avec le cofondateur des indigènes de la République ».

Les adhérents de l’AGRIF, tous nos lecteurs et auditeurs sur Radio-Courtoisie et Radio-Libertés savent nos années de combat judiciaire contre les provocations de haine antifrançaise et de racisme antiblanc de l’islamo-gauchiste Houria Bouteldja, de son principal comparse le « sociologue » Saïd Bouamama et de l’interprète artistique à leur niveau, le rappeur Saïdou, auteur de l’impérissable éructation « Nique la France » dont la disquette accompagnait le bouquin du même titre.

Ce bouquin, c’est la publication sur pleine page de plusieurs dizaines de photos d’individus des deux sexes faisant un « doigt d’honneur » en très suggestives illustrations du titre et, sur un certain nombre de pages encore, en regard des photos, les textes de 12 articles de Bouamama sur la même thématique niquelarde. 

À noter, la photo au centre du bouquin d’un quidam vêtu d’un tee-shirt à l’inscription révélatrice : « Solidarité avec les militants d’Action Directe ». C’est-à-dire avec les assassins terroristes alors encore emprisonnés au moment de la publication (il n’y en a plus aujourd’hui).    

En bon manieurs d’une dialectique d’inversion des postures, la souchienne algérienne Bouteldja et le souchien Bouamama n’ont cessé de dissimuler leur racisme sous le blanc manteau de l’antiracisme et de la lutte contre l’islamophobie.

Et plus c’est grossier, plus c’est cousu de fil rouge-vert, plus ça prend parmi les bobobos (1) et autres idiots utiles arborant, lors des procès que nous avons intentés à Nique la France, des keffiehs palestiniens et autres foulards algériens. Et hélas, Nique la France a progressé aussi avec l’évidente bienveillance de magistrats des différentes juridictions. Et maintenant avec celle de l’État ! 

En effet le « sociologue » Bouamama bénéficie désormais de toute la considération du Comité interministériel de prévention et de la délinquance (CIPDR) qui en fait un membre de son « comité scientifique » !

Or, on croit rêver, halluciner, cauchemarder, car, comme le rapporte Amaury Brelet, c’est sous la direction de Bouamama que s’est déroulé, avec toutes les approbations ministérielles, ces deux derniers jours, au TGI de Bobigny, un « colloque international » intitulé « Mécaniques de l’extrémisme violent » organisé par l’association Sauvegarde de Seine-Saint-Denis présentée comme une association de protection de l’enfance qui « assure une mission de service public habilitée par le ministère de la justice et le Conseil départemental et financée par ce dernier à… 85 % !

Cette association « prend en charge les personnes signalées radicalisées ou mises en examen en Seine-Saint-Denis voire condamnées pour des faits de terrorisme ».

Oui, ici, on atteint des sommets. 

On confie donc à l’algérien islamo-gauchiste radical Bouamama le soin de diriger des colloques sur la déradicalisation ! Nul doute que ce suave Bouamama radicalo-islamiste va témoigner de beaucoup de compréhension pour ces radicalisés. Et Bouteldja en est bien satisfaite.

Pour Lénine, même en enfer, il y a là de quoi se tordre de rire. 

Avec cette belle complicité grandissante des collabos et des idiots utiles, la révolution islamo-gauchiste n’est plus une vue de l’esprit. 

(1)  Bourgeois-bohêmes-bolcheviques