De partout montent les appels vers le président de la République qui, seul, a désormais le pouvoir d’empêcher le meurtre par euthanazie idéologiquement programmé.
La mise à mort de
Vincent Lambert prendrait une signification terrible : la volonté mûrement
décidée d’un acte de transgression de la loi morale universelle, celle du
Décalogue, fondement de la civilisation du respect de la vie innocente, ordonnée
par le quatrième des commandements du Décalogue : « Tu ne tueras pas ». Décalogue pas
seulement destiné au seul peuple juif de l’Ancien Testament et donc aux
chrétiens mais de portée universelle.
L’obligation morale et
légale du respect de la vie de l’être humain innocent, c’est ce qui fait depuis
toute la différence entre civilisation barbare et civilisation humaniste.
Ce n’est pas seulement
madame Agnès Buzyn, ministre de la santé, indifférente au respect du serment d’Hippocrate,
qui a pris la terrible responsabilité de piétiner la décision de la Commission
internationale de défense des personnes handicapées de l’ONU, au mépris des
accords signés par la France.
Elle n’a pu annoncer
cette décision barbare que sous l’autorité du président de la République
française.
Emmanuel Macron, s’il choisissait la mort et non la vie pour
Vincent Lambert, porterait en tant que chef de l’État la terrible
responsabilité devant Dieu et devant les hommes d’assumer un acte, le plus
absolu, de transgression morale.
Il y perdrait aussi sa véritable légitimité qui ne peut être
fondée que sur le devoir de protéger son peuple et d’agir pour le respect de la
vie des plus faibles.
http://www.lagrif.fr/s-informer/nos-communiques/145-acte-de-racisme-absolu-contre-l-etre-humain-la-mise-a-mort-de-vincent-lambert-serait-un-crime-d-etat