La
sauvagerie de l’ultra-gauche rouge ou noire a pu déferler ce dernier samedi sur
les Champs Élysées.
La
plus sanguinaire à ce jour a évidemment été celle de l’islam jihâdiste à l’image
de ce qu’il est toujours et partout dans le monde avec notamment ses organisations
terroristes internationales, telles qu’Al-Qaïda,
l’État islamique, Boko Haram et autres, faisant dans des sommets d’atrocités
des centaines de milliers de victimes, chrétiennes ou yézidies, et juives
encore, mais aussi dans les populations musulmanes d’autres branches honnies de
l’islam.
Mais
une autre barbarie s’est une fois encore manifestée en marge des gilets jaunes…
À
Paris surtout, mais pas seulement, la violence émeutière, curieusement,
incroyablement non prévenue, a été le fait de véritables organisations d’une
extrême-gauche de guerre civile, « Black Blocks », « antifas »
et autres groupuscules d’anarchisme révolutionnaire admirant Action Directe, la
bande à Baader ou les brigades rouges.
Comment
sur ce point oublier l’extraordinaire complaisance judiciaire à sens unique
dont ont bénéficié naguère les agresseurs « antifas » dans l’affaire
de l’agression délibérée ayant hélas entraîné la mort de l’un d’entre eux,
Clément Méric, tombé sous le coup violent qu’il avait manifestement provoqué.
Mais,
pourquoi ces groupuscules de l’ultra-gauche violente et même criminelle qui ce
samedi encore ont incendié, pillé, dévasté, et commis des violences qui
auraient pu être mortelles n’avaient-ils pas été dissous comme il en fut de
très nombreux groupuscules présentés
comme dangereux pour la République et qualifiés « d’ultra-droite » ?
Sans que l’on s’avise de préciser en quoi leurs idées semble-t-il vaguement
inspirées pour certains par les idéologies totalitaires du fascisme et du
nazisme, pouvaient bien être de droite.
De
quelles connivences l’ultra-gauche émeutière bénéficie-t-elle donc ? Ou
alors, pour quelle instrumentalisation politique entend donc l’utiliser
monsieur Castaner, si pitoyable ministre
de l’Intérieur ?
Mais
il est une autre barbarie, non émeutière et sans doute jamais médiatiquement
dénoncée, et au contraire exaltée comme le règne du progrès, c’est celle du « meilleur
des mondes ». Celle de la culture de mort, par d’abord la libre
suppression en France du droit à la vie, chaque année pour deux cent mille
enfants à naître. Celle ensuite de toutes les manipulations des embryons d’êtres
humains sous le couvert d’une soi-disant bioéthique, à des fins d’eugénisme, et
bien sûr pour le libre cours à l’euthanasie, mot qui sonne justement comme « État
nazi ».
Quiconque
désormais s’avise de dire son opposition à la suppression d’une vie qu’est tout
avortement ou toute euthanasie se voit aussitôt
médiatiquement et politiquement lynché, menacé des foudres de la loi, notamment
par... Lire la suite : http://www.lagrif.fr/s-informer/nos-communiques/133-barbarie-d-ultra-gauche-sur-les-champs-elysees-mais-barbarie-du-meilleur-des-mondes-au-gouvernement