Après l’expression de
son déni de la réalité d’une culture française ; après ses propos et
gestes de désinformation sur l’œuvre nord-africaine de la France et la guerre d’Algérie ;
après son allégeance onusiaque au pacte de Marrakech et sa signature du
mauvais traité d’Aix la Chapelle ; après son appui à toutes les
progressions vers l’enfer de la culture de mort du « meilleur des mondes »,
voulues par ses pétroleuses néo-jacobines Schiappa et Buzyn ; après ses
choix masochistes de postures et de photographies permettant tous les quolibets
égrillards et sarcasmes d’affliction du peuple devant l’auto-abaissement de la
fonction présidentielle ;
Emmanuel Macron s’est
lancé fiévreusement, hyperactivement, inépuisablement depuis des jours et des
jours dans une sorte de jeu de rôle de vaniteux et condescendant instituteur du
peuple, à haute prétention d’étalagisme pédagogique médiatiquement relayé en
continu. Libéral-libertaire, aussi atteint de logorrhée verbale que le
conducator bolchevique Ceausescu ou le paranoïaque caudillo
robespierro-léniniste Fidel Castro, Emmanuel Macron finit par faire pitié…
Il poursuit avec un
acharnement pathétique, avec ses yeux luisants de sa fantasmagorie de grand
inspiré et de visionnaire, un rêve sans
cesse brisé mais toujours recommencé. Selon son « imaginaire », vocable
qu’il affectionne particulièrement, il entend à l’évidence passer à la
postérité comme une sorte à la fois de prophète et de néo-monarque démocrate.
Ça n’ira certes pas
loin. Mais en attendant, sur les dégâts amoncelés des régimes précédents, que
de ravages encore pour notre malheureux pays.
Que vienne donc l’imbroglio
électoral d’un référendum sur n’importe quoi, cumulé avec le scrutin européen
qui entraînera au printemps la bonne nouvelle de son départ de l’Élysée.
La macronnerie
dévastatrice n’a que trop duré !