lundi 4 février 2019

Pauvre Macron : une vocation ratée d’instituteur !


Après l’expression de son déni de la réalité d’une culture française ; après ses propos et gestes de désinformation sur l’œuvre nord-africaine de la France et la guerre d’Algérie ; après son allégeance onusiaque au pacte de Marrakech  et sa signature du mauvais traité d’Aix la Chapelle ; après son appui à toutes les progressions vers l’enfer de la culture de mort du « meilleur des mondes », voulues par ses pétroleuses néo-jacobines Schiappa et Buzyn ; après ses choix masochistes de postures et de photographies permettant tous les quolibets égrillards et sarcasmes d’affliction du peuple devant l’auto-abaissement de la fonction présidentielle ; 

Emmanuel Macron s’est lancé fiévreusement, hyperactivement, inépuisablement depuis des jours et des jours dans une sorte de jeu de rôle de vaniteux et condescendant instituteur du peuple, à haute prétention d’étalagisme pédagogique médiatiquement relayé en continu. Libéral-libertaire, aussi atteint de logorrhée verbale que le conducator bolchevique Ceausescu ou le paranoïaque caudillo robespierro-léniniste Fidel Castro, Emmanuel Macron finit par faire pitié…

Il poursuit avec un acharnement pathétique, avec ses yeux luisants de sa fantasmagorie de grand inspiré et de visionnaire, un  rêve sans cesse brisé mais toujours recommencé. Selon son « imaginaire », vocable qu’il affectionne particulièrement, il entend à l’évidence passer à la postérité comme une sorte à la fois de prophète et de néo-monarque démocrate.

Ça n’ira certes pas loin. Mais en attendant, sur les dégâts amoncelés des régimes précédents, que de ravages encore pour notre malheureux pays. 

Que vienne donc l’imbroglio électoral d’un référendum sur n’importe quoi, cumulé avec le scrutin européen qui entraînera au printemps la bonne nouvelle de son départ de l’Élysée.

La macronnerie dévastatrice n’a que trop duré !