vendredi 4 janvier 2019

2019 : de quoi faire pour l’AGRIF !


Un point commun au moins entre Macron et Trump, c’est que leurs conseillers principaux ne restent guère longtemps auprès d’eux.

Je ne fais pas ici allusion à l’étrange Alexandre Benalla sur lequel on s’interrogera peut-être encore longtemps sur le rôle qu’il jouait auprès du président de la République : barbouze chargé de basses œuvres ? Protecteur matrimonial ? Délégué occulte aux relations africaines ?

 Toujours est-il qu’après l’élimination forcée de Benalla dont on a appris aussi qu’il entretenait des liens avec l’Alexandre Djouri, autre habile « petite frappe », parvenu près des hautes sphères du pouvoir, impliqué dans maints imbroglios politico-affairistes sous Sarkozy, les conseillers officiels ont, semble-t-il, autant de mal à supporter le nervosisme autoritaire de Macron que ceux de la Maison Blanche les « foucades » via « twitter » de monsieur Trump. 

Ainsi a été annoncé le départ de l’Élysée, avant la fin du mois, du directeur de la communication, Sylvain Fort, personnage clé de l’équipe présidentielle. Cela, sans la moindre explication autre que son désir de faire autre chose… 

L’actualité politique de notre pays va donc être encore, selon toute probabilité, celle de l’affrontement entre les turbulences des gilets jaunes et ce qui ressemble de plus en plus à des soubresauts annonciateurs de l’agonie de la macronie.

Cependant, hélas, alors que Macron s’est déshonoré avec ses indécentes tentatives de manipulation barbouzarde de l’opinion sur les soi-disant dangers d’un racisme homophobique ou antisémite, les véritables racismes, antifrançais, antichrétiens, antihumains, d’inspiration nihiliste ou islamiste se développent dans la complaisance de nos institutions et de notre système judiciaire.

Ainsi est-on passé d’une tolérance protectrice pour la propagande « Nique la France » de l’islamo-gauchiste Houria Bouteldja et de sa bande, à la plus grande indulgence pour un degré supérieur encore de délire raciste, celui du sieur Nick Conrad, le si délicat prosélyte rapeur de « Pendez les blancs ! », de son vrai nom Conrad Moukouri Manga Moussole.

N’eut été la vigilance de l’AGRIF et de ses avocats, Me Jérôme triomphe et Me David Dassa-Le Deist, l’action engagée par le Parquet aurait été prescrite. Le parquet a donc pu interrompre la prescription et, sur interpellation de l’AGRIF et de ses avocats, souligné que la provocation aux atteintes volontaires à la vie portait sur le meurtre des blancs, meurtres aggravés donc par la circonstance aggravante générale de racisme applicable à toutes les infractions (art. 132-76 du code pénal).

Curieusement, il semble qu’au Parquet, on soit plus enclin à considérer le fait raciste en certains cas plus que dans d’autres.

Quoi qu’il en soit, une fois encore l’AGRIF s’honore à ne pas laisser passer la moindre complaisance pour ces incitateurs aux pires abominations. Cependant, s’accentue la progression de la soumission eurocratique à la charia islamique. Ainsi, en Allemagne, la cour fédérale de justice, statuait qu’un mariage contracté en Syrie sous les auspices de la charia était conforme à la loi fondamentale allemande !

Dans cette logique juridico-constitutionnelle, la loi allemande interdisant le mariage d’enfants deviendrait alors entachée d’inconstitutionnalité !

Ainsi le domaine du « charia compatible » ne cesse-t-il de s’élargir dans les pays de double soumission à l’eurocratie et à l’islamocratie. 

Je conclurai pour aujourd’hui ces tristes mais nécessaires considérations par cet avertissement de l’excellent auteur algérien islamo-incompatible, Boualem Sansal : « La France est une cible privilégiée dans le plan d’islamisation planétaire ».

Abattre une à une toutes nos défenses immunitaires contre l’islamisation, c’est hélas pour l’heure, les seuls succès que la macronocratie sait remporter !