Un point commun au moins
entre Macron et Trump, c’est que leurs conseillers principaux ne restent guère
longtemps auprès d’eux.
Je ne fais pas ici
allusion à l’étrange Alexandre Benalla sur lequel on s’interrogera peut-être
encore longtemps sur le rôle qu’il jouait auprès du président de la République :
barbouze chargé de basses œuvres ? Protecteur matrimonial ? Délégué
occulte aux relations africaines ?
Toujours est-il qu’après l’élimination forcée
de Benalla dont on a appris aussi qu’il entretenait des liens avec l’Alexandre
Djouri, autre habile « petite frappe », parvenu près des hautes
sphères du pouvoir, impliqué dans maints imbroglios politico-affairistes sous
Sarkozy, les conseillers officiels ont, semble-t-il, autant de mal à supporter
le nervosisme autoritaire de Macron que ceux de la Maison Blanche les « foucades »
via « twitter » de monsieur Trump.
Ainsi a été annoncé le
départ de l’Élysée, avant la fin du mois, du directeur de la communication,
Sylvain Fort, personnage clé de l’équipe présidentielle. Cela, sans la moindre
explication autre que son désir de faire autre chose…
L’actualité politique de
notre pays va donc être encore, selon toute probabilité, celle de l’affrontement
entre les turbulences des gilets jaunes et ce qui ressemble de plus en plus à
des soubresauts annonciateurs de l’agonie de la macronie.
Cependant, hélas, alors
que Macron s’est déshonoré avec ses indécentes tentatives de manipulation
barbouzarde de l’opinion sur les soi-disant dangers d’un racisme homophobique
ou antisémite, les véritables racismes, antifrançais, antichrétiens,
antihumains, d’inspiration nihiliste ou islamiste se développent dans la
complaisance de nos institutions et de notre système judiciaire.
Ainsi est-on passé d’une
tolérance protectrice pour la propagande « Nique la France » de l’islamo-gauchiste
Houria Bouteldja et de sa bande, à la plus grande indulgence pour un degré
supérieur encore de délire raciste, celui du sieur Nick Conrad, le si délicat
prosélyte rapeur de « Pendez les blancs ! », de son vrai nom
Conrad Moukouri Manga Moussole.
N’eut été la vigilance
de l’AGRIF et de ses avocats, Me Jérôme triomphe et Me David Dassa-Le Deist, l’action
engagée par le Parquet aurait été prescrite. Le parquet a donc pu interrompre
la prescription et, sur interpellation de l’AGRIF et de ses
avocats, souligné que la provocation aux atteintes volontaires à la vie
portait sur le meurtre des blancs, meurtres aggravés donc par la circonstance
aggravante générale de racisme applicable à toutes les infractions
(art. 132-76 du code
pénal).
Curieusement, il semble qu’au
Parquet, on soit plus enclin à considérer le fait raciste en certains cas plus
que dans d’autres.
Quoi qu’il en soit, une
fois encore l’AGRIF s’honore à ne pas laisser passer la moindre complaisance
pour ces incitateurs aux pires abominations. Cependant, s’accentue la progression
de la soumission eurocratique à la charia islamique. Ainsi, en Allemagne, la
cour fédérale de justice, statuait qu’un mariage contracté en Syrie sous les
auspices de la charia était conforme à la loi fondamentale allemande !
Dans cette logique
juridico-constitutionnelle, la loi allemande interdisant le mariage d’enfants
deviendrait alors entachée d’inconstitutionnalité !
Ainsi le domaine du « charia
compatible » ne cesse-t-il de s’élargir dans les pays de double soumission
à l’eurocratie et à l’islamocratie.
Je conclurai pour
aujourd’hui ces tristes mais nécessaires considérations par cet avertissement
de l’excellent auteur algérien islamo-incompatible, Boualem Sansal : « La France est une cible privilégiée dans le
plan d’islamisation planétaire ».
Abattre une à une toutes
nos défenses immunitaires contre l’islamisation, c’est hélas pour l’heure, les
seuls succès que la macronocratie sait remporter !