lundi 12 novembre 2018

Dialectique macroniste du bien « progressiste » et du mal « populiste » : une débile manipulation idéologique !


Emmanuel Macron tente éperdument et dérisoirement de se voir reconnaître un rôle international de premier plan en vendant la camelote idéologique manichéenne d’un camp du bien pseudo « progressiste » opposé à un camp du mal « populiste ».
 
Moyennant quoi il pratique un affligeant déni de la réalité du monde.

Il ne dénonce pas en effet le plus effrayant des totalitarismes d’aujourd’hui, celui de la Chine communiste avec la divinisation de son chef Xi Jinping et la réalisation de son « meilleur des mondes » au niveau le plus élevé de la déshumanisation, véritable racisme antihumain.

Il ne dénonce pas l’impérialisme ottoman de la Turquie de M. Erdogan avec son très actif prosélytisme concurrentiel de ceux des autres puissances musulmanes pour la soumission du monde à la charia islamique avec ses intangibles prescriptions inhumaines, notamment les châtiments modélisés dans les Hadîths de la vie de Mahomet.

Il ne dénonce pas non plus le « meilleur des mondes » eurocratique dans l’inversion radicale des valeurs du Décalogue et dans la continuité réelle des pratiques nazies et communistes de l’eugénisme et des manipulations génétiques.

Le pseudo progressisme de M. Macron, c’est la cynique et déshumanisante déconstruction sociétale.

Son soi-disant patriotisme n’est qu’un artifice de discours alors qu’en réalité il pratique le plus parfait négationnisme des maux véritables qui menacent la paix civile en France et font toujours plus progresser le génocide français.

M. Macron ne brandit la fantasmagorique menace populiste qu’à des fins égoïstement électoralistes. Mais vouées à l’échec. Ce ne sont pas aujourd’hui la Hongrie, la Pologne, l’Autriche, l’Italie, la Tchéquie et autres États s’apprêtant à rejoindre cette alliance du refus de la tsunamigration qui menacent la paix  de l’Europe. 

C’est bien plus l’irresponsable gouvernement socialiste espagnol qui en ouvre les portes vers de probables voire d’inéluctables conflits ethno-communautaristes.

M. Macron est soit un ignorant, soit un pitoyable falsificateur de l’histoire lorsqu’il compare notre époque à celle des années 20 ou 30, au demeurant fort différentes...
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