Madame Baratin, juge des référés de Paris, a ainsi jugé « qu’aucun des moyens invoqués par les requérants n’est de nature à créer un doute sérieux quant à la légalité de la décision de la maire de Paris autorisant l’exposition en litige ».Saisi en référé par l’AGRIF, le tribunal administratif de Paris a débouté l’AGRIF de sa demande d’interdiction de la scandaleuse exposition à la mairie de Paris, voulue par madame Hidalgo, à la gloire d’Ernesto « Che Guevara » présenté comme une « icône militante et romantique », sans dire un mot du criminel de guerre et terroriste d’État, admirateur fanatique des plus grands criminels contre l’humanité, Staline et Mao.
L’AGRIF était
seule à agir judiciairement contre l’indécence révisionniste et
négationniste de madame Hidalgo, dénoncée également par nombre
d’intellectuels, historiens ou philosophes de tous les horizons.
L’AGRIF
était en ce procès porteuse de l’exigence de vérité et de justice de la
grande majorité du peuple cubain asservi et particulièrement des
dizaines de milliers de proches des victimes des tueries de Che Guevara.
Madame
Hidalgo honore donc à Paris celui que l’on appelle à Cuba « le boucher
de la Cabana », du nom de la sinistre prison où Che Guevara se
repaissait du spectacle des exécutions qu’il avait décidées en tant que
chef, désigné par Fidel Castro, de la « justice » révolutionnaire, sur
le modèle de celle des jacobins ou des bolcheviques russes ou chinois.
L’AGRIF fait évidemment immédiatement un recours devant le conseil d’État.