lundi 14 novembre 2016

Sur l’essentiel de mes analyses et prises de position, je ne regrette rien !




Sur l’essentiel de mes analyses et prises de position, je ne regrette rien ! Et tant mieux si elles ont été ensuite plus puissamment reprises par d’autres. 

Telle a été ma réponse dans le cadre d’un entretien à paraître le mois prochain. Je ne regrette pas d’avoir écrit en novembre 1980 pour la revue Itinéraires un article faisant ensuite l’objet d’une plaquette : « Le génocide français ».
 
J’y distinguais les trois composantes essentielles très imbriquées :

-    Génocide spirituel par la mise en œuvre de tous les moyens, intérieurs et extérieurs, de destruction du catholicisme.
-       Génocide culturel par toutes les entreprises de déracinement et de déconstruction : de notre langue, de notre histoire, de notre héritage civilisationnel.
-     Génocide physique par la conjugaison de l’immigration de masse et de la banalisation de l’avortement et toutes les avancées de la culture de mort.

Ce que d’autres depuis ont appelé avec raison « le grand remplacement ».

Je ne connaissais pas alors la remarquable définition du génocide donnée par le créateur du mot, grand magistrat juif polonais, Rafaël Lemkin. Ayant d’abord travaillé sur ce qu’il désigna comme « le génocide arménien » avant de devoir connaître les immenses tragédies des génocides des ukrainiens et des juifs, il donna cette définition du mot : « Tout plan méthodiquement coordonné pour détruire la vie et la culture d’un peuple et menacer son unité biologique et spirituelle ».

À bien peser, à bien méditer et à comparer à ce qui nous arrive ! 

·       Je ne regrette pas d’avoir écrit et publié il y a plus de dix ans « l’islam sans complaisance », analysant l’histoire et la réalité de ce phénomène idéologique poltico-religieux, véritable modèle totalitaire, ce qu’aucun responsable politique à cette époque encore ne voulait voir. Et d’avoir complété cela avec mes trois autres livres « Dieu et les hommes dans le Coran » et « L’islam ou la soumission au prophète, sous-titré les Hadîths de Mahomet, un modèle de vie pour le vingt-et-unième siècle ? », enfin « Le génocide arménien ».

·       Je ne regrette pas d’avoir en 1986, avec Thibault de la Tocnaye, conçu et collé sur les murs l’affiche proclamant « Aujourd’hui Beyrouth, demain la France ! ».

·       Ni d’avoir encore, à cette époque-là, lancé avec Chrétienté-Solidarité, le slogan ensuite souvent repris par nos amis du Front National : « Sortons de cette Europe-là ! ».

·       Je ne regrette pas d’avoir eu également l’idée de l’AGRIF à l’encontre de l’idéologie appelée « antiracisme » et que je n’ai cessé de dénoncer comme « un racisme en sens contraire ».

·       Je suis fier d’avoir impulsé pour le boycott international des Jeux Olympiques à Moscou et organisé le 28 avril 1980 une grande journée de dénonciation à la Mutualité avec les représentants des résistances dans plus de vingt pays asservis.

·       Je suis fier d’avoir organisé le 9 novembre 1997 une journée-modèle sur le cas du traître tortionnaire Georges Boudarel, de ce que devrait être le Procès international des crimes contre l’humanité des régimes communistes.


Jeudi à Cracovie.
À l’invitation de notre ami Marek Jurek, personnalité majeure de la droite polonaise, je serai cette fin de semaine à Cracovie pour le très important « Congrès social chrétien » qui se déroulera dans cette deuxième capitale, historique et culturelle, de la Pologne. L’épiscopat polonais y sera en grand nombre. 

Dans mon allocution, traduite, j’exprimerai notre gratitude pour l’héroïque Pologne, patriote et catholique, qui, avec l’appui décisif de saint Jean-Paul II, a déclenché le grand mouvement d’effondrement du communisme en Europe. Mais c’est de bientôt trois siècles de résistance contre-révolutionnaire en France que je suis invité à parler.  

Je conclurai avec la nécessité, l’an prochain, en octobre-novembre 2017, d’organiser un peu partout dans le monde la commémoration d’un siècle d’abominations communistes.