mercredi 9 novembre 2016

« Le pire n’est jamais sûr » : Hillary est battue !




« Ce n’est pas joué », avais-je annoncé ici il y a peu, observant que pour Trump ce n’était pas perdu.

J’avais écrit aussi qu’Hillary représentait tout ce que nous détestions et que l’on peut résumer dans l’alliance, qui ne date pas d’aujourd’hui, du gauchisme sociétal et de la ploutocratie. Aussi sa défaite nous ravit-elle. Plaise maintenant au Ciel que Trump puisse mener une grande politique pour le bien commun du peuple américain mais aussi pour que prenne fin la sinistre alliance entre l’Occident et les régimes de l’impérialisme islamique qataro-saoudien et autres. 

J’ai eu la bonne surprise de découvrir hier dans le Figaro, avec sa photo, que Walid Pharès avait été choisi par Trump comme conseiller sur les questions du Proche-Orient. 

Walid, qui avait été un des conférenciers dans le camp de Chrétienté-Solidarité au Liban en 1986, était un des dirigeants des Forces Libanaises de Samir Geagea, responsable du renseignement. Il me sauva sans doute du pire en ayant pu enfin me trouver, la veille d’un jour où je devais passer par le célèbre « passage du Musée » pour me rendre à une invitation intéressante à Beyrouth-Ouest. Mon enlèvement, me dit-il, était programmé, et il m’enjoignit de demeurer en secteur chrétien. 

Les années passant, je n’eus plus de nouvelles de lui, sachant qu’après les années où la Syrie occupait le Liban, il s’était exilé aux États-Unis, revenant ensuite par intermittence au Liban après l’évacuation syrienne.

Il y a quelques mois, un chef d’entreprise, lecteur de ce blog, m’appela pour me dire qu’il travaillait avec… Walid Pharès, et que peut-être il serait bon de nous rencontrer tous les trois. 

Je ne sais quelle suite sera donnée à cette idée. Mais, quoi qu’il puisse en être, je puis témoigner ici que Trump a en la personne de Walid Pharès un remarquable connaisseur du Proche-Orient. 

Ce matin, sur la route de l’aéroport de Toulouse, passant d’une radio à l’autre, j’ai pu écouter avec jubilation les commentaires de la mediacrassie dans lesquels les artifices de la désinformation étaient rendus par le dépit et la rage plus grossiers que d’ordinaire.   

Conclusion de la conférence de Walid Pharès au camp de Chrétienté-Solidarité en juillet 1986 :
"Le Liban sera le noyau indéfectible des peuples chrétiens du Proche-Orient. Toutes ces nations brimées et leurs diasporas seront une force capable de peser, de changer le cours de l'histoire. Le Liban sera sauvé et l'espoir des Chrétiens retrouvé."  
  
À demain !