lundi 3 octobre 2016

Quand François défend la doctrine de la vérité, de la vie et de la famille, on l’aime !



La doctrine catholique de l’infaillibilité pontificale (sur des proclamations dogmatiques peu fréquentes) est tout le contraire d’une exigence d’adhésion inconditionnelle à n’importe quels propos du pape.
Trop peu le savent, même parmi les catholiques.
Et de surcroît, le pape François, dans ses critiques féroces de la Curie, nous a invités à n’être ni des courtisans ni des approbateurs systématiques. Aussi, à plusieurs reprises hélas, nous n’avons pu que manifester notre étonnement ou notre refus devant certains de ses propos politiques ou sur l’islam dont on peut pour le moins penser avec le philosophe Rémi Brague, et d’autres éminents penseurs, qu’il n’y connaît pas grand-chose.
En revanche, lorsque sortant de l’ambiguïté de propos aériens circonstanciels il martèle, comme à Tbilissi, pour dénoncer la « théorie du genre » qu’ « il y a aujourd’hui une guerre mondiale pour détruire le mariage », on ne peut que s’en réjouir, parce que tout un faisceau de faits converge pour attester cela.
Et lorsque l’on entend dame Najat Vallaud-Belkacem vitupérer comme une vipère, ou comme un naja projetant son venin, contre le pape en invoquant l’influence  des intégristes de la fondation Lejeune et autres (sic !) alors, oui, on fait bloc avec le pape catholique.