Je
ne suis toujours pas vraiment attiré par Trump, dont les idées sont un peu trop
sommaires et dont je n’aime pas beaucoup le regard derrière ses paupières
tombantes d’alligator. Et s’il y a des lobbies sionistes pour appuyer Hillary,
comme l’a maladroitement exprimé monsieur Poisson, je ne suis pas rassuré par
le fait que les lobbies ultrasionistes les plus extrémistes appuient Trump. Et
d’ailleurs, selon les derniers sondages, près de 70% des électeurs israélo-américains
à double nationalité, voteraient Trump, démentant à l’évidence les
sempiternelles accusations d’antisémitisme.
Mais
je suis beaucoup moins encore attiré par Hillary et si j’avais le droit de
voter en Amérique, je lui préfèrerais certainement Trump. D’abord bien sûr pour
toutes les raisons idéologiques, politiques et morales qui font qu’elle est, je crois, sur
presque tout, aux antipodes de nos idées et valeurs et aussi très dangereuse
pour la paix dans le vieux monde.
Ensuite,
et ma foi, cela compte, car je crois aux enseignements de la
psycho-morphologie, elle est cent fois plus repoussante que Trump. L’artificialité
de son visage à l’évidence plusieurs fois chirurgicalement retendu et avec son
rire artificiel en fait un personnage robotisé de film de science-fiction.
Mais
l’horreur s’amplifie dans une sorte de laideur cumulée à deux, lorsqu’elle est
enveloppée protectricement par l’effrayante Michèle Obama avec sa bouche
carnassière de vivante gargouille et les mouvements de son corps d’autruche.
Pourtant
la plupart des commentatrices et commentateurs de nos télévisions s’acharnent à
affirmer qu’elle est d’une captivante beauté, séduisant presque tout l’électorat
américain, hommes, femmes et plus encore tous les genres L.G.B.T. Évidemment
ils n’en pensent rien mais conformisme oblige.