Après
ses nombreuses allégations mensongères sur Radio-Courtoisie contre l’AGRIF, en
tant que président de cette association, j’ai envoyé il y a dix jours à Henry
de Lesquen un texte bref, dans les limites strictes du droit de réponse légal.
Il n’a pas lu ou fait lire ce texte.
En
conséquence, nous engageons demain devant le Tribunal de Paris l’action en
référé qui s’impose pour exiger cela.
Pour
ce qui est des diffamations les plus graves contre ma personne, mais qui
portent donc atteinte à tout ce que mes amis et moi nous défendons, je ne puis
les laisser passer.
J’intente les poursuites qui s’imposent.
Mais
je ne poursuis pas ses misérables injures à répétition. Par leur vulgarité et
leur ridicule, elles portent en elles-mêmes la condamnation de leur auteur.