lundi 29 août 2016

REPRISE DE BLOG



Rédaction de mon livre « Réflexions sur le monde actuel », voyage au Liban, université d’été, nécessaire réplique aux tristes lesquineries…

Heureusement que j’avais annoncé une interruption d’expression sur ce blog. M’y voici de retour selon un rythme que je voudrais de deux fois par semaine, du moins je l’espère.

Le problème, ce n’est pas le burkini !

Plusieurs amis m’ont demandé ce que je pensais de l’affaire du burkini et des arrêts municipaux l’interdisant sur les plages. Je ne sais pas si certains burkinis comportent la mise hors de vue des visages. Dans ce cas bien sûr, il faut les interdire, il faut sévir aussitôt.

Car il s’agit là d’un véritable enfermement, d’une effroyable dissimulation de ce qui exprime le plus, physiquement et spirituellement, l’appartenance humaine. Pour le reste, on voit tellement d’horreurs ou d’impudeurs d’ailleurs tant masculines que féminines sur les plages que l’on ne saurait regarder d’un mauvais œil qu’elles puissent, pour faire trempette, être dissimulées sous d’élégantes toges. Surtout « quand vient des ans l’irréparable outrage »…

Plus sérieusement, l’affaire du burkini islamique, ignominieusement donc réservé aux seules femmes, aura en fait déplacé la question fondamentale qui est celle de l’expansion de l’islam en France et dans toute l’Europe occidentale et hélas encore dans bien d’autres pays. Avec Mohamed-Christophe et autres convertis au Christ venus de l’islam, nous n’avons cessé de le rappeler, c’est l’islamisation totalitaire de nos sociétés qui est le danger. Elle ne cesse de progresser avec la mortelle dialectique de « l’islam mains rouges » et de « l’islam patte blanche », ce dernier se présentant comme la pacifique alternative à l’abomination de l’islam jihâdiste. Et elle avance avec le piège pour les gogos ignorants du « pas d’amalgame » massivement matraqué par les médias, les politiciens et tant de religieux, diversement à la fois trompeurs et trompés, tous aux cerveaux plus ou moins lessivés par la constante instillation de l’idéologie de l’antiracisme. 

Le burkini est au moins un révélateur. Les analphabètes politico-médiatiques de la réalité de l’islam, le présentent comme un signe religieux. Combien de fois faudra-t-il redire et répéter que l’islam n’est pas principalement une religion mais un totalitarisme politico-religieux culturel et moral ? Sa visibilité n’est pas pour l’heure le pire danger mais au contraire un avertisseur de sa rapide avancée qu’il faudrait coûte que coûte conjurer. 

Car dès que l’islam, sans attendre d’être majoritaire, devient une forte minorité alors l’histoire enseigne que très vite, il impose sa domination, l‘avancée de la charia et la soumission à la dhimmitude pour « les gens du livre ».

Or justement, tout le problème de l’islam réside dans ses livres, le Coran et les hadîths, qui ne sont ni des livres de paix ni de tolérance mais la source de l’exemplarité cruelle du prophète. Nous aurons hélas l’occasion d’en reparler.