Rédaction de mon livre « Réflexions
sur le monde actuel », voyage au Liban, université d’été, nécessaire
réplique aux tristes lesquineries…
Heureusement que j’avais annoncé une
interruption d’expression sur ce blog. M’y voici de retour selon un rythme que
je voudrais de deux fois par semaine, du moins je l’espère.
Le
problème, ce n’est pas le burkini !
Plusieurs amis m’ont demandé ce que je
pensais de l’affaire du burkini et des arrêts municipaux l’interdisant sur les
plages. Je ne sais pas si certains burkinis comportent la mise hors de vue des
visages. Dans ce cas bien sûr, il faut les interdire, il faut sévir aussitôt.
Car il s’agit là d’un véritable
enfermement, d’une effroyable dissimulation de ce qui exprime le plus,
physiquement et spirituellement, l’appartenance humaine. Pour le reste, on voit
tellement d’horreurs ou d’impudeurs d’ailleurs tant masculines que féminines
sur les plages que l’on ne saurait regarder d’un mauvais œil qu’elles puissent,
pour faire trempette, être dissimulées sous d’élégantes toges. Surtout « quand
vient des ans l’irréparable outrage »…
Plus sérieusement, l’affaire du burkini
islamique, ignominieusement donc réservé aux seules femmes, aura en fait
déplacé la question fondamentale qui est celle de l’expansion de l’islam en France
et dans toute l’Europe occidentale et hélas encore dans bien d’autres pays. Avec
Mohamed-Christophe et autres convertis au Christ venus de l’islam, nous n’avons
cessé de le rappeler, c’est l’islamisation totalitaire de nos sociétés qui est
le danger. Elle ne cesse de progresser avec la mortelle dialectique de « l’islam
mains rouges » et de « l’islam patte blanche », ce dernier se
présentant comme la pacifique alternative à l’abomination de l’islam jihâdiste.
Et elle avance avec le piège pour les gogos ignorants du « pas d’amalgame »
massivement matraqué par les médias, les politiciens et tant de religieux,
diversement à la fois trompeurs et trompés, tous aux cerveaux plus ou moins
lessivés par la constante instillation de l’idéologie de l’antiracisme.
Le burkini est au moins un révélateur. Les
analphabètes politico-médiatiques de la réalité de l’islam, le présentent comme
un signe religieux. Combien de fois faudra-t-il redire et répéter que l’islam n’est
pas principalement une religion mais un totalitarisme politico-religieux culturel
et moral ? Sa visibilité n’est pas pour l’heure le pire danger mais au
contraire un avertisseur de sa rapide avancée qu’il faudrait coûte que coûte
conjurer.
Car dès que l’islam, sans attendre d’être
majoritaire, devient une forte minorité alors l’histoire enseigne que très
vite, il impose sa domination, l‘avancée de la charia et la soumission à la
dhimmitude pour « les gens du livre ».
Or justement, tout le problème de l’islam
réside dans ses livres, le Coran et les hadîths, qui ne sont ni des livres de
paix ni de tolérance mais la source de l’exemplarité cruelle du prophète. Nous
aurons hélas l’occasion d’en reparler.