Radicalisation signifie retour aux racines.
Pour nos radicaux socialistes,
les racines sont celles du jacobinisme révolutionnaire, étatiste et laïciste.
Pour les anarchistes
radicaux, ce sont celles des nihilistes terroristes des siècles précédents, de
Ravachol à Baader.
Pour les chrétiens
radicaux, ce sont celles de la vérité évangélique, de pauvreté, de chasteté,
d’humilité, de partage et de non-violence dans l’imitation de Jésus-Christ.
Pour les musulmans
radicaux, c’est l’imitation du modèle du Prohète, selon la lecture littérale du
Coran et des récits de ses faits et gestes (les Hadîths), y compris dans toute
leur cruauté (lapidation, amputations, égorgements, tortures).
Là est la racine du mal !
Mais le respect de
l’idéologiquement correct, de l’antiracistement correct, de l’islamiquement
correct, mêlé à l’inculture et à la lâcheté, fait que les commentateurs et les
politiciens et les politologues et les « experts » laïques ou
religieux, s’ils en ont la connaissance, ne veulent pas le dire.
Ils n’ont ni la lucidité ni
le courage du maréchal Sissi et de quelques autres courageux intellectuels
musulmans... Lire la suite : http://www.lagrif.fr/communiques/actualites/567-radicalisation-ils-ne-cessent-d-en-parler-mais-sans-oser-nommer-comme-le-marechal-sissi-la-racine-du-mal-dont-il-s-agit-la-sacralisation-des-textes-fondateurs-de-l-islam