mercredi 20 juillet 2016

les "réfugiés" afghans




Aujourd’hui à Montpellier, un jeune « réfugié » afghan, emmené en vacances a poignardé un de ses éducateurs lui ayant demandé de ne pas mettre ses pieds sur la table. 

Ceci vient après l’attentat à la hache perpétré en Allemagne par un autre jeune  musulman afghan, lui aussi bien accueilli dans ce pays par une famille pleine d’humanité. Ces faits viennent confirmer, s’il en était besoin, ce que nous révélait il y a déjà plusieurs années un véritable réfugié désormais prénommé Jean, menacé de mort en Algérie parce que converti au christianisme.

Dans le foyer d’une institution d’origine catholique qui l’hébergeait, il était encore menacé de mort par un de ces Afghans qui, ainsi que bien d’autres pseudo-réfugiés du Caucase et d’ailleurs, font régner la charia par la terreur partout où on les accueille. 

Faux réfugiés mais véritables envahisseurs islamo-terroristes !

Il n’y a d’ailleurs aucune raison, sauf exception pour ceux, menacés du pire, qui ont collaboré avec nos soldats, pour accueillir des quémandeurs d’asile afghans. Les Afghans sont à peu près tous des musulmans fondamentalistes aux coutumes les plus obscurantistes, notamment dans le traitement des femmes. Les uns parmi les réfugiés sont partisans des Taliban : les laisser arriver en Europe est criminel.

Le devoir de la plupart des autres est de combattre les Taliban, pas de déserter. Et s’ils doivent se réfugier, c’est au Pakistan ou dans les autres pays musulmans de l’Asie qu’ils doivent trouver asile, ou en Iran, pour ceux de la minorité chiite. 

Ajoutons ici qu’il y en a assez de l’impudence de tant d’immigrés musulmans, aussitôt aigris, aussitôt révoltés parce qu’ils ne reçoivent pas immédiatement tout ce qu’ils s’estiment en droit d’exiger. 

Que n’ont-ils pour modèles les réfugiés d’Indochine, presque tous polis, respectueux, discrets, travailleurs ! 

Mais que n’apprend-on dans les écoles quelle était la vie misérable des indigènes en Tunisie ou en Algérie sous la colonisation turque !

Les Français en ont ras-le-bol de la jérémiade des assistés sociaux fabriqués par la convergence de l’échec de l’école de la République et du fatalisme mahométan.