Aujourd’hui à Montpellier, un
jeune « réfugié » afghan, emmené en vacances a poignardé un de ses
éducateurs lui ayant demandé de ne pas mettre ses pieds sur la table.
Ceci vient
après l’attentat à la hache perpétré en Allemagne par un autre jeune musulman afghan, lui aussi bien accueilli dans
ce pays par une famille pleine d’humanité. Ces faits viennent confirmer, s’il
en était besoin, ce que nous révélait il y a déjà plusieurs années un véritable
réfugié désormais prénommé Jean, menacé de mort en Algérie parce que converti
au christianisme.
Dans le foyer d’une institution
d’origine catholique qui l’hébergeait, il était encore menacé de mort par un de
ces Afghans qui, ainsi que bien d’autres pseudo-réfugiés du Caucase et d’ailleurs,
font régner la charia par la terreur partout où on les accueille.
Faux réfugiés mais véritables
envahisseurs islamo-terroristes !
Il n’y a d’ailleurs aucune
raison, sauf exception pour ceux, menacés du pire, qui ont collaboré avec nos
soldats, pour accueillir des quémandeurs d’asile afghans. Les Afghans sont à
peu près tous des musulmans fondamentalistes aux coutumes les plus obscurantistes,
notamment dans le traitement des femmes. Les uns parmi les réfugiés sont
partisans des Taliban : les laisser arriver en Europe est criminel.
Le devoir de la plupart des
autres est de combattre les Taliban, pas de déserter. Et s’ils doivent se
réfugier, c’est au Pakistan ou dans les autres pays musulmans de l’Asie qu’ils
doivent trouver asile, ou en Iran, pour ceux de la minorité chiite.
Ajoutons ici qu’il y en a assez
de l’impudence de tant d’immigrés musulmans, aussitôt aigris, aussitôt révoltés
parce qu’ils ne reçoivent pas immédiatement tout ce qu’ils s’estiment en droit
d’exiger.
Que n’ont-ils pour modèles les
réfugiés d’Indochine, presque tous polis, respectueux, discrets, travailleurs !
Mais que n’apprend-on dans les
écoles quelle était la vie misérable des indigènes en Tunisie ou en Algérie
sous la colonisation turque !
Les Français en ont ras-le-bol de
la jérémiade des assistés sociaux fabriqués par la convergence de l’échec de l’école
de la République et du fatalisme mahométan.