jeudi 9 juin 2016

Maudites élections présidentielles.





Vous êtes un certain nombre à me demander depuis des semaines voire des mois quelle directive donnera l’Institut du Pays Libre pour les prochaines élections présidentielles.

La seule chose que je puis dire, c’est que, comme par le passé, nous noterons les différents candidats sur leurs positions explicites par rapport à un certain nombre de critères : le respect de la vie innocente, le remplacement de la loi Veil, le défi de l’islam, la rupture avec l’eurocratie totalitaire, le refus du socialisme national jacobin, l’opposition à la dictature syndicalo-terroriste, pour le plus grand profit des instituts de sondage et des politologues.

Ce mode de désignation avait été voulu par le général De Gaulle dans l’espoir d’en finir avec le régime des partis de la IV° République où l’élection était réservée aux grands électeurs, donc très dépendante des tractations politiciennes. De Gaulle manifestement avait raisonné pour cette réforme à partir de son cas personnel exceptionnel. La présidentielle au suffrage universel devait selon lui consister en un pacte entre un homme et le peuple par-dessus les partis. Somme toute, aboutir à une sorte de monarchie républicaine. 

Ce fut un peu cela avec Pompidou, Giscard et Mitterrand, seul le premier des trois ayant été sur l’essentiel un monarque républicain plus bienfaisant que nuisible. Jacques Chirac ayant succédé à François Mitterrand, il fit ramener par référendum en octobre 2000 la durée du mandat à cinq ans, afin que le « monarque » puisse régner dix ans. Cela un peu sur le modèle américain (quatre ans renouvelable une fois). Dès lors, tout à fait à l’opposé de la principale qualité de la monarchie qui est celle de la durée et donc d’une continuité dans la politique, le mandat étant ramené à cinq ans, le pays est sans cesse enfiévré électoralement puisque tout, très vite, ne tourne plus qu’autour de l’élection prochaine. 

Et par ailleurs, celui qui est élu ainsi ne sera pas plus inéluctablement le meilleur que celui désigné par de grands électeurs peut-être plus au fait de la politique et moins sensibles à la démagogie et aux grandes manipulations. Certes, nul système n’est parfait mais je crois plus mauvais celui que nous avons que les précédents. 

Cela dit, l’an prochain, et seulement l’an prochain, nous donnerons nos directives en procédant comme toujours à une notation des candidats sur les critères essentiels du bien commun national. Bien sûr, la hiérarchie peut éventuellement varier en fonction des urgences pesant sur la vie de notre peuple. 

Ce qui est sûr, c’est que nous jugerons sur les critères que voici :
-        Respect de la vie innocente, politique de la famille : abrogation et remplacement de la loi Veil ; abrogation de la loi Taubira ; retour aux allocations familiales odieusement amputées en 1915 pour les familles nombreuses.
-        Indépendance de la patrie ; sortie de l’eurocratie totalitaire ; construction d’une Europe des pactes de solidarité.
-        Réforme du code de la nationalité.
-      Abolition et remplacement des textes véhiculant l’idéologie antiraciste qui n’est pas une idéologie de lutte contre le racisme mais un parfait racisme en sens contraire.
-        Lutte contre la tsunamigration et contre la submersion de notre pays et de l’Europe par des foules conditionnées idéologiquement par la théocratie totalitaire de l’islam.
-   Réforme administrative de la France ; réorganisation non jacobine par l’instauration d’environ 40 provinces.  
-     Restauration des libertés de l’éducation et de l’enseignement par instauration du chèque scolaire.
-     Défense des libertés du travail, professionnelles et syndicales ; constitutionnalisation de l’interdiction des pratiques de chantage, de prises du peuple en otage, d’empêchement des libertés de déplacement par des organisations politico-syndicales extrémistes.
-        Défense des équilibres écologiques fondée sur la prééminence de l‘écologie humaine.     
-    Politique de sécurité intérieure et extérieure par augmentation des moyens humains et matériels de police et de l’armée française.

Sur chacun de ces critères, les candidats étant noté de 1 à 5, on peut hélas déjà discerner que bien peu parmi les candidats actuellement plausibles, obtiendraient une note justifiant un grand enthousiasme.