Par arrêt de ce jour, la cour d’appel de Paris, présidée par Mme Sophie Portier, a confirmé l’ahurissante relaxe accordée par le tribunal de 1° instance aux semeurs de haine de « Nique la France ».
L’AGRIF poursuivait Saïd Bouamama, l’auteur des textes du livre Nique la France et Saïdou, de nationalité française, l’auteur du morceau de rap sous le même titre vendu simultanément, tous deux ayant comme chef de file l’islamo-gauchiste Houria Bouteldja, de nationalité algérienne, présidente du PIR (Parti des Indigènes de la République).
Rappelons que le livre consiste d’une part en un texte de furieux fatras idéologique élaboré par Bouamama, payé pour ce genre de travail par notre Éducation Nationale. On ne s’étonne pas d’y voir cité comme inspirateur l’extrémiste musulman américain Malcolm X. D’autre part il est illustré par 95 photos d’individus tendant tous selon la même gestuelle le doigt dit « d’honneur » signifiant leur commun idéal : Nique la France !
Sur le « tee-shirt » de l’un d’eux, l’inscription « solidarité avec les militants d’Action Directe ».
Mais le juge d’instruction de notre plainte, l’acceptant pour le texte, avait néanmoins refusé que les photos soient l’objet du procès…
Rappelons que le mois dernier,...