lundi 30 novembre 2015

Mieux que Gribouille, l’Union Européenne !


La Turquie islamiste recevra donc 3 milliards d’euros de l’Union Européenne pour financer ses camps de réfugiés.

Simultanément, cette dernière a accordé à ce distingué humaniste qu’est M. Erdogan la reprise du processus d’intégration de son pays. Ainsi les turcs pourront-ils plus facilement encore s’installer dans les pays européens : plus besoin de visas !

Or la Turquie n’en impose pas aux ressortissants des peuples ottomans. Elle leur accorde « ipso facto » la nationalité turque s’ils émigrent dans un premier temps sur son sol. Mais ce sont par dizaines de millions que pourront s’implanter à leur tour chez nous les descendants de Gengis Khan immigrant depuis l’un des cinq autres pays turcophones ! Afghanistan, Azerbaïdjan, Kirghizstan, Ouzbékistan, Turkménistan. Et n’oubions pas les minorités turques ou turcophones de Chine (Ouïgours…) ni celles, bien sûr, du Kazakhstan et du Tadjikistan.

On le voit, les musulmans d’origine arabe ne seront plus très longtemps majoritaires dans la portion européenne de l’immense oumma d’autant que déjà ceux d’Afrique noire, du continent indien, et les Indonésiens aussi, y constituent des peuplements non négligeables.

C’est que la potion « Padamalgam » entraîne l’implantation, très rapide à l’échelle de l’histoire, d’abord de masses islamiques au sein des peuples d’Europe puis s’enclenche déjà çà et là selon les avancées démographiques le processus d’absorption des Européens par la société islamique. C’est là tout le secret de la stratégie du néo-impérialisme ottoman. Ce qui, après la prise de Constantinople avait été arrêté à Lépante puis à Vienne est en voie de réalisation à Bruxelles et à Berlin.

Il existe depuis longtemps dans le monde germanique un courant de sympathie sinon de fascination pour l’islam : cela va de Frédéric II Hohenstauffen à Angela Merkel en passant par Guillaume II et par la politique islamophile du troisième Reich. Avec Merkel et Juncker, s’est réaffirmée la vieille connivence du Turc et du Germain.

Il n’est que temps, face à cela, avant qu’il ne soit trop tard, de retrouver une communauté de refus, slave et latine. On pèse par rapport à cet enjeu combien serait catastrophique la poursuite de l’antagonisme entre peuples slaves. J’évoque souvent combien j’avais été affligé en 1990 par les dirigeants serbo-yougoslaves que j’avais rencontrés, plus préoccupés de refuser l’indépendance de la Slovénie et de la Croatie que de se soucier de leur Kosovo déjà trop largement islamisé. On a vu le résultat !