lundi 24 août 2015

SANS CESSE, COMME DANS « LE CAMP DES SAINTS » : L’AGRIF DIT STOP !



Bernard ANTONY, président de l’A.G.R.I.F.

 communique :





Alors que l’on n’accorde que des visas au compte-goutte aux paisibles chrétiens d’Irak et de Syrie et aux Yézidis menacés des pires sévices, par dizaines de milliers, comme dans le prophétique livre de Jean Raspail, les réfugiés musulmans affluent, aisément identifiables par les voiles de leurs femmes.


Ça bouchonne un peu aux entrées de l’Union Européenne, mais tous finissent par passer et s’installent, dûment conseillés pour réclamer au plus vite tous les droits et toutes les aides.

La plupart des États musulmans qui le pourraient non seulement ne s’opposent pas à ce flux ininterrompu mais d’évidence le favorisent ; en particulier la Turquie dont le gouvernement voit avec jubilation s’installer ou se développer partout en Europe de nouvelles têtes de pont islamiques.


Et dans les foules de ces populations déracinées, les organisations jihâdistes, on le sait, infiltrent sans difficulté leurs terroristes.


Seule dans les pays de l’Union Européenne confrontés aux vagues déferlantes, la Hongrie, qui n’oublie pas son histoire, entend par l’exercice de sa souveraineté préserver la paix pour son peuple.

L’AGRIF rappelle qu’il appartient d’abord aux très riches États islamiques, Arabie Saoudite, Qatar, Koweït et autres émirats d’accueillir les demandeurs d’asile des pays de l’Oumma. Ce n’est pas là une position motivée par l’égoïsme. Bien au contraire, il s’agit de l’impératif devoir de charité politique qui consiste d’abord à préserver la paix ou pour le moins à ne pas augmenter encore les ingrédients conflictuels.



Sauf événement important, je ne reviendrai guère sur ce blog avant la semaine prochaine. Et ce sera sans doute brièvement car, à Paris, je serai très pris par les comités de rédaction de La Griffe et de Reconquête, et aussi notre émission de la réplique du mercredi 2 septembre (de 18h à 21h) avec Cécile Montmirail, Pierre Henri, Vivien Hoch et, comme invité de deuxième partie, notre ami Jean-Pierre Rondeau pour notamment commenter les craquements boursiers en Chine.