Je m’envole aujourd’hui avec l’abbé Ribeton pour Varsovie
où nous attend mon ami Marek Jurek, député polonais au Parlement Européen,
ancien président de la Diète, militant catholique, patriote et, cela va de soi,
anticommuniste.
Je
vais avoir la joie de retrouver bien des connaissances que j’ai nouées dans ce
pays depuis 1986, lors des dures années de l’état de siège où Solidarnosc,
soutenu par Jean-Paul II, porta des coups décisifs au communisme.
Différents
rassemblements, conférences et réunions sont au programme de notre déplacement,
et notamment l’importante journée polonaise de défense du respect de la vie,
pèlerinage aussi à Czestochowa et grande messe célébrée par l’abbé Ribeton sur
la tombe du père Popieluszko.
Je
n’aurai donc probablement pas le temps d’écrire sur ce blog avant mercredi ou
jeudi de la semaine prochaine, d’autant que je dois terminer en rentrant les
chapitres annexes de mon livre « Le génocide arménien 1915 – 2015 »
sous-titré « Des Turcs à l’État islamique « Daesch», le
massacre continue ».
On
peut s’en douter, ce travail ne baignera pas dans la turcophilie alors que l’on
honore toujours à Istanbul, sous son grand mausolée, l’immense criminel
organisateur en chef du génocide, le ministre de l’intérieur puis Grand Vizir,
le chef Jeune-Turc Talaat Pacha. Ce dernier fut le dirigeant numéro 1 de ce qui
a été appelé, y compris dans les encyclopédies maçonniques, comme « l’État
maçonnique ».
Nous
en reparlerons.
Absent
de France, je n’en participe pas moins au scrutin de dimanche, ayant donné pour
cela procuration à mon épouse Elisabeth. Je commenterai l’élection pour
plusieurs médias polonais et je traiterai aussi, comme je l’ai fait sur
Radio-Courtoisie, de l’état psychiatrique vraiment très préoccupant de notre
premier ministre aux yeux injectés de la fièvre du fanatisme.