Faute de temps, je n’ajouterai
pas aujourd’hui d’amples considérations aux innombrables commentaires des
politologues et politiciens sur le scrutin d’hier. On s’en doute, je me réjouis
de l’élection de plusieurs de nos amis mais je partage aussi la déception de
certains dont nous aurions tant aimé qu’ils soient élus, en premier chef notre
ami Thibaut de La Tocnaye, vice-président de Chrétienté-Solidarité, qui, à
Cavaillon, rate de bien peu l’élection qu’il méritait.
J’enrage aussi de devoir
quitter aujourd’hui mon domicile, et donc mon bureau, pour pouvoir me rendre
demain matin à l’heure à la convocation d’un juge d’instruction qui veut
m’entendre au sujet de la plainte que l’Agrif a déposée contre les Femen pour
une de leurs multiples agressions contre les catholiques.
Tout est pourtant bien motivé
dans cette plainte par notre avocat Jérôme Triomphe. Cela me fait perdre deux
journées alors que je veux
impérativement achever ces jours-ci mon livre intitulé « Le génocide
arménien 1915-2015 », sous-titré « État islamique, la
continuité », afin qu’il paraisse avant avant le 24 avril.
À cette date les Arméniens
commémorent en effet la rafle de leurs élites à Istanbul marquant pour eux le
début de la grande période génocidaire de 1915-1916. Ce jour-là, je parlerai de
cela à Nice (Hôtel Splendid - avenue Victor Hugo - 17h).
À Paris, sur le même sujet, ce
sera le 29 avril.