Je ne veux pas perdre de temps aujourd’hui sur ce que j’ai
glané de temps à autre ce matin au volant de ma voiture des propos de ce benêt
de François Hollande qui ne vaut même pas la peine qu’on le déteste.
J’ai réagi ce jour par communiqué de l’AGRIF sur
l’amplification continue, puisque ça marche, du déferlement de populations
musulmanes sur les côtes européennes, alors que les très riches États
islamiques seraient mieux à même de les recevoir et les intégrer. Mais la
vérité n’est-elle pas que les malheureux réfugiés servent de piétaille à
l’opération de « grand remplacement » de population depuis longtemps
impulsée par les stratèges de l’expansionnisme islamique et du génocide
démographique de nos pays ?
Comme
il n’est pas nécessaire de ne commenter que de mauvaises nouvelles, je ne crois
pas inutile de relever plutôt l’information des très plaisantes raisons du
limogeage de ce bon général Gu Junshan de l’armée chinoise. À la fois fourmi
avisée et cigale généreuse, ce grand humaniste de l’armée rouge était un
généreux mécène mais surtout un intéressant rénovateur religieux.
Selon
la presse de Hongkong, ce héros de l’armée du prolétariat avait constitué une
modeste fortune évaluée à 4 milliards d’euros en monnayant les nominations dans
l’armée. Elle consistait notamment en dizaines de luxueux appartements au
centre de Pékin et en réserve de lingots d’or.
Mais
il ne laissait pas longtemps dormir cet or comme un vulgaire matérialiste
capitaliste. Défenseur de la continuité de la Chine, le général, par ailleurs
très généreux pour sa famille et ses amis, en avait utilisé une partie pour
trois statues de Bouddha de plusieurs dizaines de kilos. Purement en or,
redisons-le. Ensuite, comme les Bouddhas, et plus important encore que le funeste
veau d’or des Hébreux qui s’étaient détournés du culte de Yahvé, le général
avait fait fondre encore plus de cet or pur pour une statue de Mao.
Plaisante
manière, n’est-ce pas, de conserver une indéniable réserve d’or strictement
communiste avec cette statue préposée à la religieuse vénération des masses
laborieuses éduquées au matérialisme dialectique par le Grand
Timonier ?
On
peut donc espérer que le maître actuel de la Chine, le vertueux Xi Jinping,
n’ira pas jusqu’à châtier le général un peu trop esthète comme le fit Moïse
obéissant à l’ordre de Yahvé d’exterminer tous les idolâtres. On verra bien.
Quoi qu’il en soit, Mao, le plus gigantesque exterminateur de l’histoire,
« ce phare de la pensée universelle » selon l’impérissable éloge de
Valéry Giscard d’Estaing, méritait bien une statue à nulle autre pareille.