SNCF-SOS
Racisme.
Comme
annoncé, je viens d’écrire au Secrétaire Général de la SNCF.
Je
crois que, dans l’intérêt de cette dernière, il serait bon qu’il nous
rencontre. Je doute en effet que l’association SOS Racisme, quoique très
subventionnée, ait la culture et l’expérience pour former les agents de
sécurité de nos transports ferroviaires à la nouvelle réalité sociale marquée
par l’islamisation de notre pays.
« Allahou
Akbar ! ».
Jadis, avant même que l’on sache quoi que ce soit de
certains attentats (rue Copernic, rue des Rosiers, etc…), on les imputait à une
fantasmagorique extrême-droite et on déclenchait contre ce mythe d’immenses
hourvaris médiatiques et manifestations de tous ordres. Faute de coupables
immédiatement identifiés, cela retombait après quelques jours et puis, bien
plus tard, vraiment très discrètement, on nous apprenait que les auteurs des
attentats étaient selon les cas de quelque mouvance palestinienne ou islamiste.
Tout
le monde peut constater qu’on ne procède pas du tout de la même manière avec
les attentats de la série « Allahou Akbar ». Là, la prudence, le
doute, la circonspection sont de mise. Et il faut surtout se garder d’une
imputation généralisatrice.
Non,
les assassins n’ont rien à voir avec un islam de quelque école que ce soit, ce
ne sont que des « loups solitaires » et plus généralement des
« déséquilibrés ».
Finalement,
leurs crimes ne relèvent pas de la politique mais seulement de la psychiatrie.
Ce qui n’est d’ailleurs pas totalement faux car les deux domaines ne sont-ils
pas si souvent intimement liés ? D’éminentes personnalités catholiques ont
affirmé aussi que Daesch, comme ils disent pudiquement, ce n’est pas non plus
l’islam. On respire ! Pas plus bien sûr que les talibans ou Boko-Haram et
cinquante autres organisations islamistes.
L’embêtant,
c’est que depuis les origines de l’islam, de pareils mouvements, ceux de tous
les salafismes, tels que les almoravides et almohades, ou tous les salafismes
inspirés par Ibn Taymiyya jusqu’au wahabisme d’Arabie, ont conquis avec les
mêmes procédés de cruauté sadique que « Daesch ». Et que Daesch,
jusqu’à il y a peu, a bénéficié de toute la complaisance, de toute la
complicité de la Turquie, de l‘Arabie saoudite, du Qatar… Et que tout simplement, une fois instauré le
carcan atroce de la charia modélisée sur l’exemple du prophète Mahomet,
l’institutionnalisation de la terreur la rend en quelque sorte comme plus
acceptable parce que légale. Ainsi des amputations, des lapidations et des
décapitations.
Mais
surtout il ne faut pas observer que tout cela est pourtant prôné dans le Coran
ou dans les Hâdiths du prophète.
Ainsi
la vérité, c’est que tant que l’on n’ira pas au fond des choses sur l’islam,
qui réside dans l’exemplarité du prophète, tant que cela n’aura pas été soumis
à une interprétation critique, on verra surgir de plus en plus nombreux de
prétendus loups solitaires et autres « déséquilibrés ».
Mais
comment aller vers les francs débats nécessaires avec les doucereux imans tant
que les plus hautes autorités politiques et religieuses de nos pays
continueront à déverser sur l’islam et ses livres le flot de leur déni de
réalité ?
Trève
de blogue !
·
J’ai pris beaucoup de retard dans mon courrier, encore
plus dans mes tâches éditoriales, sans parler de quelques livres de réplique
que je médite sans vraiment les avancer. Et de surcroît, voilà qu’à Paris la
semaine dernière, tous les toussoteux bronchiteux et grippeux du comité de
rédaction de Reconquête m’ont embarqué dans leur chaîne de solidarité
microbienne.
Ainsi
Jérôme Triomphe et moi communiquons ces jours-ci autant par la toux que par la
voix.
Ajoutez
à cela que je me dois tout de même un peu à ma famille dont j’attends avec joie
le déferlement des enfants et petits-enfants. Aussi j’interromps mes écrits sur
l’écran jusqu’au début de l’an prochain.
- À vous tous donc,
chers lecteurs et amis qui me lisez, mes vœux de saint et bon Noël ;
et pour 2015, tous mes souhaits de courage sinon de bonheur et, plus que
jamais, de pugnacité dans notre résistance à tous les maux de la bêtise et
des invasions qui nous submergent.