lundi 22 décembre 2014

Dernier écrit sur ce « blogue » pour cette année.



SNCF-SOS Racisme.

Comme annoncé, je viens d’écrire au Secrétaire Général de la SNCF.

Je crois que, dans l’intérêt de cette dernière, il serait bon qu’il nous rencontre. Je doute en effet que l’association SOS Racisme, quoique très subventionnée, ait la culture et l’expérience pour former les agents de sécurité de nos transports ferroviaires à la nouvelle réalité sociale marquée par l’islamisation de notre pays.

« Allahou Akbar ! ».

Jadis, avant même que l’on sache quoi que ce soit de certains attentats (rue Copernic, rue des Rosiers, etc…), on les imputait à une fantasmagorique extrême-droite et on déclenchait contre ce mythe d’immenses hourvaris médiatiques et manifestations de tous ordres. Faute de coupables immédiatement identifiés, cela retombait après quelques jours et puis, bien plus tard, vraiment très discrètement, on nous apprenait que les auteurs des attentats étaient selon les cas de quelque mouvance palestinienne ou islamiste.

Tout le monde peut constater qu’on ne procède pas du tout de la même manière avec les attentats de la série « Allahou Akbar ». Là, la prudence, le doute, la circonspection sont de mise. Et il faut surtout se garder d’une imputation généralisatrice.

Non, les assassins n’ont rien à voir avec un islam de quelque école que ce soit, ce ne sont que des « loups solitaires » et plus généralement des « déséquilibrés ».

Finalement, leurs crimes ne relèvent pas de la politique mais seulement de la psychiatrie. Ce qui n’est d’ailleurs pas totalement faux car les deux domaines ne sont-ils pas si souvent intimement liés ? D’éminentes personnalités catholiques ont affirmé aussi que Daesch, comme ils disent pudiquement, ce n’est pas non plus l’islam. On respire ! Pas plus bien sûr que les talibans ou Boko-Haram et cinquante autres organisations islamistes.

L’embêtant, c’est que depuis les origines de l’islam, de pareils mouvements, ceux de tous les salafismes, tels que les almoravides et almohades, ou tous les salafismes inspirés par Ibn Taymiyya jusqu’au wahabisme d’Arabie, ont conquis avec les mêmes procédés de cruauté sadique que « Daesch ». Et que Daesch, jusqu’à il y a peu, a bénéficié de toute la complaisance, de toute la complicité de la Turquie, de l‘Arabie saoudite, du Qatar…  Et que tout simplement, une fois instauré le carcan atroce de la charia modélisée sur l’exemple du prophète Mahomet, l’institutionnalisation de la terreur la rend en quelque sorte comme plus acceptable parce que légale. Ainsi des amputations, des lapidations et des décapitations.

Mais surtout il ne faut pas observer que tout cela est pourtant prôné dans le Coran ou dans les Hâdiths du prophète.

Ainsi la vérité, c’est que tant que l’on n’ira pas au fond des choses sur l’islam, qui réside dans l’exemplarité du prophète, tant que cela n’aura pas été soumis à une interprétation critique, on verra surgir de plus en plus nombreux de prétendus loups solitaires et autres « déséquilibrés ».

Mais comment aller vers les francs débats nécessaires avec les doucereux imans tant que les plus hautes autorités politiques et religieuses de nos pays continueront à déverser sur l’islam et ses livres le flot de leur déni de réalité ?

Trève de blogue !

·        J’ai pris beaucoup de retard dans mon courrier, encore plus dans mes tâches éditoriales, sans parler de quelques livres de réplique que je médite sans vraiment les avancer. Et de surcroît, voilà qu’à Paris la semaine dernière, tous les toussoteux bronchiteux et grippeux du comité de rédaction de Reconquête m’ont embarqué dans leur chaîne de solidarité microbienne.

Ainsi Jérôme Triomphe et moi communiquons ces jours-ci autant par la toux que par la voix.

Ajoutez à cela que je me dois tout de même un peu à ma famille dont j’attends avec joie le déferlement des enfants et petits-enfants. Aussi j’interromps mes écrits sur l’écran jusqu’au début de l’an prochain.

  • À vous tous donc, chers lecteurs et amis qui me lisez, mes vœux de saint et bon Noël ; et pour 2015, tous mes souhaits de courage sinon de bonheur et, plus que jamais, de pugnacité dans notre résistance à tous les maux de la bêtise et des invasions qui nous submergent.