vendredi 29 août 2014

État des lieux de rentrée.

AGRIF


La prochaine lettre de l’AGRIF, « La Griffe », partira ce lundi à l’imprimerie pour livraison dans vos boîtes quelques jours plus tard.

Au sommaire notamment, car c’est un des combats majeurs de notre identité. Mon éditorial : l’islamophilie obligatoire : non merci ! Laïcisme nihiliste : également non !

Et un entretien important avec notre avocat coordinateur, Jérôme Triomphe, qui plaidera pour nous plusieurs dossiers majeurs au long de l’année judiciaire qui s’ouvre.

Pour adhérer à l’AGRIF et s’abonner à La Griffe


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CHRÉTIENTÉ-SOLIDARITÉ-PERSÉCUTIONS



J’ai écouté hier au soir une émission sur la radio dite nationale, consacrée aux réfugiés d’Irak.

L’obsession sans cesse récurrente de l’animatrice (avec des questions d’auditeurs bien sélectionnées dans le même sens) était… qu’il faut surtout se garder de privilégier les chrétiens. Pensez, ils sont déjà plusieurs dizaines à avoir été accueillis chez nous ! Parmi les invités à l’émission et les auditeurs choisis, pas un n’a fait remarquer qu’alors qu’on mégote sur les centaines de chrétiens à sauver, et dont on sait par expérience leur admirable capacité d’intégration chez nous, des musulmans « sans papiers » continuent de déferler par dizaines de milliers sur toutes nos côtes d’Italie, d’Espagne et d’ailleurs.

Ce sera l’objet de mon coup de colère ce mercredi sur Radio-Courtoisie dans notre émission de la Réplique (mercredi prochain de 18 h à 21 h).


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INSTITUT DU PAYS LIBRE


« Question » ukrainienne

Oui, je sais bien, combien les politiques américaines et bruxelloises ont accumulé les maladresses vis-à-vis de la Russie après la fin de l‘URSS alors qu’il fallait profiter de cette phase pour construire de nouvelles relations.

Oui, je sais bien que les gouvernements ukrainiens (corrompus certes ! mais pas plus que les russes) ont accumulé les erreurs.

Oui, je sais bien que la conscience nationale ukrainienne n’est pas partagée par l’ensemble de la population de ses régions de l’Est.

Mais cela dit, il y a d’autres manières de lutter pour la fédéralisation voire l’indépendance que celles du conflit avec des armes lourdes et sophistiquées et, pire encore, l’encadrement, que nul ne nie sérieusement, de forces spéciales du grand voisin russe.

Dans d’autres États, il est de fortes minorités (ou majorités) à vouloir obtenir l’indépendance de leurs nations d’une personnalité historique originale indéniable. Ainsi de la Catalogne en Espagne, ainsi de l’Écosse au Royaume-Uni.

Les voies politiques pour cela sont légitimes et, je le crains, (car je préfère l’Espagne unie) efficaces.

Si les solutions de ces questions nationales ne doivent plus être que militaires, alors je crains que l’expression populaire « c’est reparti comme en 14 ! » ne prenne toute sa signification.

Mes amis polonais m’expriment sur cela leur grande inquiétude.