lundi 2 juin 2014

Islam « radical » : le déni de réalité des politiciens et des médiacrates.



Avec Mehdi, l’assassin de la synagogue de Bruxelles, on nous raconte à nouveau l’histoire du bon petit gars qui a un peu dérapé (dealer-braqueur…) et qui, à sa sortie de prison, est devenu lui aussi, comme Merah, un « loup solitaire ».

Drôles de solitaires pourtant que ces gugusses qui trouvent moyen de se balader solitairement dans dix ou douze aéroports et de séjourner, toujours solitairement, dans autant de pays, solitaires bien sûr dans les délices du jihad, et solitaires encore naturellement dans l’acquisition des AK 47 et autres ustensiles de même acabit utiles pour meubler leur solitude.

Oui, vraiment, on nous « bourre le mou », on nous prend pour des imbéciles ! Et tout ça pour ne pas dire, surtout ne pas dire, l’évidence que ces gens ne sont évidemment pas des solitaires, pas plus le Mehdi que le Merah ; ne pas dire qu’ils font partie de toute une mouvance islamique de plus en plus importante comme en témoigne l’immense popularité d’Oussama Ben Laden, dont le prénom est désormais autant donné aux nouveaux-nés que celui de Mahomet.

Bien sûr, que les terroristes n’abusent pas du bavardage en public ! Les croire « solitaires » pour autant, comme l’affirment leurs coreligionnaires, voisins et familiers respectueux de l’omerta, c’est vraiment faire preuve de niaiserie. Car autour de ces pseudo-solitaires, il y a surtout des islamiquement et jihadiquement « solidaires » !