Dans les manifestations en faveur
du pseudo « mariage » pour tous , parmi bien des pancartes et
banderoles abjectes, beaucoup exaltaient les charmes de la sodomie, chose que
l’on retrouve désormais dans des bandes dessinées par des ordures et
distribuées par des salopards évidemment avides de pédophilie jusque dans les
écoles maternelles avec l’appui du ministère.
Si l’homophobie au sens strict signifie une répulsion
irrationnelle à l’égard de son pareil, la sodomophobie n’est pas autre chose
que le droit non seulement de refuser
de se laisser empapaouter mais celui de trouver cela d’une dégueulasserie
merdique.
Mais alors qu’ils défendent le
prosélytisme en faveur des pratiques les plus dégueulasses du sado-masochisme,
du sadico-anal et autres gay-délices, les politiques et les occupants des médias poussent des clameurs d’une
indécente tartufferie dans une incroyable néo-pudibonderie lorsqu’on use des
mots d’un cru réalisme pour désigner les mœurs du lobby LGBT-OGM.
Or n’est-ce pas au moins dans les unions des paires masculines la
pratique sodomite de leurs adopteurs qu’inéluctablement découvrent les enfants
dont ils ont revendiqué le droit à l’adoption pour satisfaire leurs
aspirations ?
Mais aura-t-on encore longtemps
la liberté de se déclarer sodomophobes ?
Eh bien, face à l’exaltation
sodomophile nous entendons faire respecter cette liberté.
Oui nous défendons l’imprescriptible légitimité morale de la
sodomophobie.