Bernard Antony, président de l’Institut du Pays Libre, communique :
Affaire
Trierweiler : la normalité de François Hollande, comment la surmonter ?
Par le harem !
François Hollande est, on le voit, un homme vraiment normal
selon le conformisme du jour. Il a l’âge où, après avoir largué la mère de ses
enfants, il est d’usage de combler un vif désir d’affection avec une pétulante maîtresse.
Mais selon une disposition psychiatrique connue que l’on peut qualifier de « rétro-jalousie »,
il n’est pas rare que cette dernière, jalouse comme une chatte qui tient au
gros matou qu’elle a ravi, soit constamment vigilante, toutes griffes dehors, à
l’égard de la première.
On mesure là combien, faute désormais de chefs d’État
fonctionnant sur le modèle familial chrétien désuet, il serait sans doute bon
de revenir à l’institution éprouvée du harem.
Ainsi une personne d’âge mûr, mère du monarque en place ou
choisie selon des règles protocolaires parmi des dames autoritaires et sages,
régirait la hiérarchie préférentielle des compagnes. Faute de mariage, il ne s’agirait
pas de les distinguer en première, deuxième ou troisième épouse comme dans la
vénérable Chine impériale, mais on établirait un tour entre les dames de douce
compagnie. Dans l’état actuel des choses, on verrait bien affectée à cette
noble fonction soit la très sévère Martine Aubry, soit la vigilante Christiane Taubira.
On pourrait aussi concevoir de mettre à cette place sinon un
eunuque du moins un de ces hommes très peu intéressés par le commerce des dames
qui sont nombreux à la tête des cercles dirigeants de tous les partis sans
exception.