Pendant ce temps là, la planète entière peut continuer de bénéficier de toutes nos prestations sociales (CMU, allocations diverses...). Le problème du coût de l'immigration n'est toujours pas posé. On traite le problème des retraites sans ce facteur essentiel. Autant mettre de l'essence dans un réservoir perçé !
Les Français se laissent quart-mondiser sans broncher. Les familles voient leur ressources diminuer à vue d'oeil et l'on annonce des augmentations d'impôts.
Mais la colère ne monte pas, la révolution n'est pas prête d'arriver.
Jusqu'à quand ?
Yann Baly